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Au Burundi, la journaliste Floriane Irangabiye est en détention depuis août 2022 et fait l'objet de poursuites en raison de son travail journalistique, notamment pour avoir critiqué le manque de liberté d'expression dans son pays.
Elle sera envoyée à Ambassadeur En soutien à Amnesty International Belgique Francophone
Plus d'infos
Le 30 août 2022, alors qu’elle rend visite à sa famille au Burundi après sept ans d’absence, elle est arrêtée arbitrairement. Durant son procès fin 2022, la défense présente un extrait de l’émission qu’elle présentait et où elle et ses invité·es critiquaient le gouvernement burundais. Le procès se termine avec la déclaration de culpabilité de la journaliste le 2 janvier 2023. Accusée d’”atteinte à l’intégrité du territoire national”, elle endure une peine d’emprisonnement de 10 ans.
Le 2 mai 2023, la cour d'appel confirme sa peine de 10 ans d'emprisonnement. Son arrestation et sa détention, utilisées pour sanctionner l'exercice pacifique de son droit à la liberté d’expression, sont arbitraires et contraires aux droits humains. Floriane n’a rien à faire en prison ! C’est une journaliste qui devrait pouvoir faire son travail librement.
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à Ambabu.paris@orange.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Liberté pour Floriane
Message : Madame, Monsieur
Floriane n’a rien à faire en prison ! C’est une journaliste qui devrait pouvoir faire son travail librement.
J'exige sa libération immédiate !
Dans cette attente, veuillez croire en ma vigilance sur vos décisions.
Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments" ou "me connecter et modifier"
Lorsqu'un gouvernement cherche à museler les journalistes, c'est certainement un mauvais signe de l'état de la démocratie dans le pays. Après avoir fait taire des journalistes, les dirigeants qui n'acceptent pas la critique de leurs politiques peuvent peu-à-peu s'en prendre aux syndicats, aux associations, aux groupements, aux partis politiques, aux minorités, aux opposantEs, aux personnes qui défendent les droits humains. Disons ici que combattre vigoureusement ce processus de censure est un devoir pour les citoyenNEs.
nicolas wyss 27/01/2024 - 19:01:53
J'ai bien sûr signé, mais je ne suis pas certain que l'interpellation en mode "injonction" avec des " ! " (genre "énervé") soit le plus efficace, sur la forme, pour inciter le destinataire de la pétition à faire ce qu'on lui demande.
François Sivardière 25/01/2024 - 21:06:50
Accusée d'"atteinte à l’intégrité du territoire national"?!
Alors quoi, Floriane a envahi le Burundi avec des chars d'assaut, comme Poutine en Ukraine ?
Bien sûr que non, elle n'a fait que son travail de journaliste consciencieuse. En France, certains intervenants sévissant sur les chaînes détritus devraient en prendre de la graine.
Tout mon soutien à cette jeune femme courageuse !
Frawald 25/01/2024 - 19:41:54
La démocratie ne peut pas ignorer la liberté de l'information mais peut-être que le Burundi n'est pas une démocratie. Il serait beaucoup mieux que la journaliste Floriane Irangabiye soit libérée très rapidement
Claude Fustier 24/01/2024 - 22:54:14
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nicolas wyss
27/01/2024 - 19:01:53