Pour que vive le loup et que vive le pastoralisme !

Autorisation de destruction de loups

La consultation Projet d’arrêté fixant le nombre maximum de spécimens de loups (Canis lupus) dont la destruction pourra être autorisée pour la période 2016-2017 est ouverte sur le site Internet du Ministère du Développement durable Du 31/05/2016 au 22/06/2016. Cliquez sur le lien ci-après pour y accéder

Pour vos commentaires, vous pouvez vous inspirer de ce communiqué de CAP LOUP

Auteur : CAP LOUP – Le Collectif des Associations pour le Protection du Loup en France
Créé le 23/05/2014

À l’attention : de Mme Ségolène Royal, Ministre de l’Ecologie

La France s’est lancée dans la chasse aux loups, espèce protégée, alors que 75% des Français trouvent inacceptable qu’on abatte cette espèce*. Nous interpellons Mme la ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, afin qu’elle écoute la demande de la majorité des citoyens, et qu’elle mette fin à cette campagne de haine contre les loups et ceux qui les protègent.

Nous demandons à Mme Ségolène Royal :

– De mettre fin à la politique des tirs et de faire appliquer une véritable protection du loup.
Il faut réaffirmer clairement son statut d’espèce protégée. La destruction systématique de loups ne doit plus être envisagée comme un mode de gestion. Les tirs ne résolvent en rien les difficultés des éleveurs et torpillent la cohabitation entre le pastoralisme et le loup.

– De favoriser un élevage responsable et compatible avec la conservation de la biodiversité.
Aimer le loup n’est pas délaisser le berger ! Les aides financières liées au loup permettent leur embauche et la réfection des cabanes : le loup crée de l’emploi et fait revivre les alpages, ne l’oublions pas. L’État doit encore mieux accompagner les éleveurs volontaires pour développer des techniques pastorales alternatives aux tirs, en accord avec les enjeux écologiques et les attentes de la société.

– De ne plus indemniser les éleveurs qui ne gardent pas ou ne protègent pas suffisamment leurs troupeaux.
Les très grands troupeaux mal gardés entraînent une dégradation écologique de nos montagnes et concentrent l’essentiel des difficultés de cohabitation avec le loup. D’autre part, l’élevage ovin ne survit que grâce aux subventions publiques et reçoit chaque année plusieurs centaines de millions d’euros (hors aides spécifiques liées au loup). Les contribuables sont en droit de demander des comptes sur ce que l’on fait de leurs deniers.

– De faire cesser la haine qui sévit autour du loup et de ses protecteurs.
Des (ir)responsables politiques n’hésitent pas à mentir au sujet du loup pour s’attirer les faveurs d’un public sensible. Nous demandons à ce que cesse cette désinformation malhonnête, et nous sommes à la disposition des médias pour une information plus objective sur ce dossier.

Protéger les loups, c’est protéger le patrimoine naturel de tous les Français !

*sondage IFOP septembre 2013 pour l’ASPAS et One Voice

Téléchargez la brochure Loup : pour en finir avec les contre-vérités sur le pastoralisme et sur la chasse

Des pansements contre les hémorragies pour les combattantes et combattants du Rojava

Solidarité révolutionnaire avec le Rojava

Des pansements contre les hémorragies pour les combattantes et combattants du Rojava.

Qu’est ce que le Rojava ?

Le Kurdistan est la zone de peuplement kurde écartelée principalement entre quatre pays (Turquie, Iran, Irak, et Syrie). Le Rojava, littéralement Kurdistan « de l’Ouest », est la partie du Kurdistan qui s’est retrouvée en Syrie après qu’aient été redessinées les frontières de la région, entre autre par la France, en 1923, suite à la Première Guerre mondiale et à la chute de l’Empire ottoman. Constitué de trois cantons (Afrin, Kobané et Cizîrê), le Rojava est un territoire qui est désormais en grande partie auto-administré et défendu par les Unités de protection du peuple, les YPG (mixtes), et les Unités de protection des femmes, les YPJ, composées uniquement de femmes. C’est un territoire coincé entre les zones contrôlées par l’État Islamique (EI) et la frontière turque.

Si les unités kurdes s’organisent depuis des années, c’est durant l’été 2014 que les populations du Rojava se sont très massivement mobilisées pour repousser l’offensive lancée sur la ville de Kobané par l’État islamique. Ce soulèvement, d’abord pour repousser le fascisme patriarcal de l’EI, le front al-Nosra et l’armée de Bachar Al-Assad, s’est montré vecteur d’un processus révolutionnaire extrêmement intéressant et porteur d’espoir pour la région et au-delà. De plus la place qu’ont pris les femmes au sein de ce processus est déjà, comme elles le définissent elles-mêmes, une révolution dans la révolution.

 

Les YPG/YPJ infligent à l’État islamique ses plus grandes défaites côté syrien. Mais de nombreux-ses combattant-e-s du Rojava le payent de leur vie.

 

 

Cette guerre nous concerne :

L’État islamique, financé par l’Arabie Saoudite et le Qatar –tous deux très liés aux pays occidentaux notamment via les ventes de pétrole et d’armes, en particulier françaises–, dispose d’un matériel militaire des plus modernes alors que les révolutionnaires du Rojava manquent de tout (matériel militaire, médical, équipement, nourriture, etc.).

Et rappelons que le principal appui de l’EI reste indiscutablement la Turquie, membre de l’OTAN et allié historique des États-Unis. La Turquie vient tout juste de recevoir trois milliards d’euros de l’Union Européenne pour bloquer et interner dans des camps les milliers de réfugiés syriens qui fuient la guerre et les zones contrôlées par l’EI, afin que ceux-ci ne puissent rejoindre l’Europe. Et pour ne pas froisser l’allié turc, l’Europe passe sous silence les récents massacres commis par l’armée turque au Kurdistan. Alors qu’elle s’est révélée être un appui majeur de l’EI, la Turquie vient de recevoir de l’UE une invitation à reposer sa candidature d’adhésion pour une entrée au sein de l’Europe.

Dans ces arrangements entre Etats pour limiter les migrations se sont finalement les Kurdes (pires ennemis de l’État islamique) qui en payent le prix fort. Ce qui amène certains commentateurs à affirmer que ces 3 milliards d’euros sont indirectement un chèque de l’Union européenne à l’État islamique.

 

Comment la Turquie soutient l’EI ?

En bombardant les positions kurdes en Turquie ainsi que celles des YPG/YPJ en Syrie qui sont les plus à même de résister et de reprendre du terrain à l’EI. En laissant passer un incessant ballet de camions-citernes remplis du pétrole de l’EI destiné à être vendu sur le « marché noir » turc, ainsi que du phosphate, des céréales, du coton, etc. ; en permettant aux combattants de l’EI de se soigner dans les hôpitaux turcs avant de repartir au combat ; en fournissant de l’armement lourd et des combattants à l’EI.

 

La Turquie ferme la frontière aux combattant-e-s kurdes de Turquie qui souhaitent rejoindre les zones défendues par les YPG/YPJ. Et si les combattantes et combattants YPG/YPJ manquent de matériel, c’est aussi parce que la Turquie essaie d’empêcher tout ravitaillement, que ce soit d’armement ou de matériel de première nécessité comme du matériel médical.

 

Alors que faire ?

Des brigades internationales se sont formées sur le modèle des brigades internationales qui combattaient le fascisme espagnol en 1936. Ce sont des brigades mixtes qui accueillent des hommes et des femmes.

 

Le Secours rouge de Bruxelles avec d’autres organisations ont lancé une campagne de soutien à ces brigades internationales en lançant une souscription pour leur envoyer des pansements hémostatiques : http://www.secoursrouge.org/article11199

 

Nous lançons ici, depuis Lille, une “campagne soeur” pour collecter les fonds nécessaires à l’achat de 250 pansements hémostatiques que nous ferons parvenir aux YPG/YPJ.

Tous les frais de cette campagne (impression des affiches, coûts de fonctionnement Leetchi, etc.) sont pris en charge par les organisateurs : chaque euro récolté ira au Rojava !

 

Pourquoi des pansements hémostatiques ?

Aucune aide internationale n’est apportée au Rojava et 60 % des blessés par balle meurent d’hémorragie en attendant d’être pris en charge. Les pansements hémostatiques accélèrent la coagulation du sang et permettent de stopper rapidement une hémorragie. Et donc de sauver les vies de blessés.

 

Chaque pansement coûte 40€ et c’est un matériel de guerre difficile à trouver depuis le Kurdistan. Nous achèterons donc les pansements en France et les enverrons directement aux YPG et YPJ.

 

Une somme de 10 000€ permettrait de financer l’achat de 250 pansements hémostatiques.

 

Exemple de pansement hémostatique : Le Quickclot

 

Le quickclot (il existe aussi d’autres marques) utilise de la zéolite, un cristal microporeux qui absorbe la composante liquide du sang, ce qui accélère fortement la coagulation (3 fois plus rapide que la normale). On peut le trouver aussi sous forme de poudre à déposer directement sur la plaie pour stopper le saignement.

 

Notre démarche

L’Insoumise est un espace autonome à Lille, occupé depuis 2012. Il s’y trouve une bibliothèque et une librairie, ainsi que des organisations d’événements : rencontres, débats, projections… Organisé de manière autogérée, avec le but d’amener des réflexions pour un changement radical de société. Parmi les nombreuses discussions que nous avons pu avoir, nous avons trouvé particulièrement inspirantes celles sur le Kurdistan et en particulier le processus révolutionnaire en cours au Rojava qui affirme des positions anti-nationalistes, assembléistes, égalitaires et dans lequel les femmes prennent une place inédite.

Après avoir accueilli de nombreux invité-e-s, organisé des discussions et des projections, et face à l’horreur du fascisme patriarcal de l’EI, le collectif de l’Insoumise a décidé de lancer ce projet de soutien pour le Rojava.

Plus d’informations sur l’Insoumise : http://www.linsoumiselille.net/

 

L’ Action Antifasciste Nord Pas de Calais se joint à cette campagne après avoir organisé des rassemblements et manifestations de soutien aux combattantEs du Rojava : https://www.facebook.com/ActionAntifascisteNp2c/

Cette campagne et aussi soutenu par le mensuel “Merhaba hevalno” que vous pouvez lire ici: http://https://we.riseup.net/assets/275295/versions/5/mh1.pdf

Ainsi que par : http://www.kedistan.net

 

participez sur https://www.leetchi.com/c/ne-laissons-pas-le-rojava-se-vider-de-son-sang

Arrêt du nucléaire, énergie de destruction massive : tous au rassemblement 1er & 2 octobre 2016

Pourquoi cette mobilisation
Le CAN-Ouest réunit des associations, partis politiques et individuel(les), tous conscients des disfonctionnements et des conséquences du nucléaire sur le plan de la santé, de l’économie, de la préservation de l’environnement. Actuellement, les risques pour la filière nucléaire s’accroissent à grande vitesse et par voie de conséquence pour l’environnement et nous-même.
ARÉVA plonge dans un gouffre financier dû pour partie à des acquisitions ”foireuses” de soit-disant mines d’uranium mais aussi par les 7 années de retard sur le chantier de l’EPR d’Olkiluoto (Finlande). La baisse du marché du retraitement aggrave son déficit.
EDF a pendant des années acquis des compagnies étrangères et donc mobilisé ses réserves financières. Depuis la catastrophe de Fukushima, EDF doit adapter ses centrales aux nouvelles normes et entame ”le grand carrénage” (ou ”le grand rafistolage”) pour un coût annoncé de 55 milliards d’€. Pour sauver le soldat ARÉVA, le gouvernement demande à EDF de lui racheter sa branche ”réacteur” pour 2,5 milliards d’€. Le projet des deux EPR d’Hinkley Point (Grande Bretagne) est tellement colossal (23,2 milliards d’€) que le directeur financier d’EDF, Thomas PIQUEMAL, a démissionné le 7 mars 2016. Et la valeur EDF continue inexorablement de tomber à la bourse.
Si on rajoute à cette collection de désastres qui seront très lourds de conséquences, tous les autres chantiers nucléaires en France – le projet de centre d’enfouissement des déchets nucléaires à BURE, le chantier ”Astrid” à Marcoule et ”ITER” à Cadarache, il y a de quoi réagir.
C’est ce que fait le CAN-Ouest en appelant les français à se rassembler à Flamanville pour mettre un point d’arrêt à cet engrenage et emballement.

affiche_flamanville

Programme :

Ce rassemblement contre l’EPR et le «Grand Rafistolage» des vieux réacteurs se tiendra les 1er et 2 octobre 2016 à Siouville (voir page «Lieux et accès») prés de Flamanville où se construit l’EPR et où seront «rafistolés» deux vieux réacteurs.

SAMEDI 1er OCTOBRE 2016 Sur le site de Siouville-Plage Les TamarisStands associatifs, Animations, Buvettes et boissons

  • 11 h : Accueil
  • 20h  : Concerts entrée libre :
    • Pieds dans le bocal
    • Provisoire
    • les Ramoneurs de Menhirs
Marche vers la centrale nucléaire de Flamanville

  • 13h30 : Départ de Siouville-Plage : manifestation vers la centrale de Flamanville
  • 15h00 : Port de Dielette (Flamanville) : prises de paroles puis reprise de la marche
  • 18h : retour sur le site de Siouville-Plage

Fanfares, Batucadas et toutes animations sont les bienvenues lors de la manifestation

DIMANCHE 2 OCTOBRE 2016 Conférences thématiques dès 9h00

La région offre beaucoup de possibilités d’hébergement pour celles et ceux qui voudraient rester les deux jours (voir page «Hébergement»).

N’hésitez pas à consulter nos pages «Covoiturage» ou «Transport en car» afin de profiter des places disponibles dans les véhicules.

http://www.can-ouest.org/articles/rassemblement/

Marche mondiale contre Monsanto le 21 mai

marche mondiale contre Monsanto
Une marche mondiale contre Monsanto et les multinationales de l’agrobusiness se déroulera ce 21 mai, pour la quatrième année consécutive. En France, des évènement sont prévus dans une trentaine de villes. Un tribunal international citoyen jugera également la multinationale, accusée « d’écocide ». Voici l’appel du collectif « combat Monsanto », qui oeuvre pour la transparence alimentaire et la protection de la santé.
La marche contre Monsanto (MaM) est l’occasion de dénoncer collectivement une agriculture intensive, usant de semences génétiquement modifiées (OGM) et dépendantes de pesticides toxiques, sous la coupe de multinationales s’appropriant le vivant, et dont Monsanto est le symbole planétaire, mais pas l’unique représentant (Dow Chemical, Syngenta, Bayer, BASF, DuPont, Limagrain,…).
Les citoyens sont également concernés par les préoccupations sanitaires qui pèsent sur eux et leurs enfants, du fait de la dispersion incontrôlée de milliers de molécules chimiques dans l’environnement. La situation est d’autant plus alarmante que la France est le 1er consommateur européen de pesticides et le 3ème au niveau mondial.
La MaM n’a pas vocation à se limiter à une simple marche, ni à un seul jour de mobilisation : il s’agit surtout d’un événement citoyen et militant, autogéré localement par les personnes qui s’en emparent et qui s’organisent, dans une logique horizontale de convergence et de non-violence, afin d’assurer la participation du plus grand nombre Parmi les membres fondateurs de Combat Monsanto : Greenpeace, Sherpa, Attac, les Amis de la terre, Fondation sciences citoyennes, Via campesina, collectif citoyen les Engraineurs.
Un tribunal citoyen contre Monsanto
Un collectif international de personnalités, scientifiques, juristes et d’ONG lance un tribunal international pour juger la multinationale accusée « d’écocide ». Un nombre croissant de citoyens de différentes régions du monde voient aujourd’hui l’entreprise américaine Monsanto comme le symbole d’une agriculture industrielle et chimique qui pollue, accélère la perte de biodiversité et contribue de manière massive au réchauffement climatique.
Il est temps de mettre fin à cette impunité et de faire reconnaître au niveau international les crimes contre l’environnement, l’écocide, et mettre devant des tribunaux les responsables de tels actes pour les mettre face à leurs responsabilités !
La page Facebook de la marche : https://www.facebook.com/events/204717463210142
Pour connaître les villes qui se mobilisent

Sur les réseaux sociaux : #Monsanto #MaM2016
Pour en savoir plus sur l’initiative du tribunal

Agen (Le Gravier à 14h) :
Ajaccio (Assemblée de Corse CTC à 14h30) :
Amiens (Palais de Justice à 14h) :
Avesnes-sur-Helpe (Place de la Gare à 14h) :
Avignon, dans le cadre de la foire Naturavignon, conférence à 17h30 au domaine de la Souvine, route de Bel Air.
Bayonne (Mairie à 10h) :
Belfort (Place d’Armes à 12h) :
Besançon (Place de la Révolution à 14h) :
Bordeaux (Place de la Victoire à 14h) :
Caen (Le Régent (3, avenue de la Libération) à 11h puis Place de la République à 14h) :
Chalon-sur-Saône (Place Saint Vincent à 10h30) :
Charleville-Mézières (Place Ducale à 14h) :
Châteauroux (Place de la République à 14h) :
Cherbourg (incertain) :
Clermont-Ferrand (Place Delille Montlosier à 15h) :
Dijon (Place de la Libération à 11h) :
Draguignan (Cinéma CGR à 11h) :
Fort-de-France (Le Malecon à 9h) :
Laon (Place des Droits de l’Homme à 10h) :
La Rochelle (Place de Verdun à 15h) :
 Le Mans (Place de la République à 15h) :
 Lille (Grand place à 14h30) :
Limoges (Place d’Aine à 14h30) :
Lorient (Quai des Indes à 10h) :
Lyon (Place Carnot à 12h30) :
 Marseille (le Kiosque à Musique (en haut de la Canebière) à 13h) :
Monaco (MARCHE ANNULEE —> RDV à Nice) :
Montpellier (Jardin du Peyrou à 15h) :
Nancy (Place Maginot à 14h30) :
Nantes (Place Royale à 14h) :
Nice (Avenue Thiers à côté de la gare à 13h) :
Nîmes (Camping de la Bastide à 14h) :
Paris (Place de la République à 14h30) :
Perpignan (Place Arago à 14h) :
Pont des Lilas (commune de St Martin – Sainte Catherine à 10h) :
Rennes (Mail François Mitterrand à 12h) :
Roanne (Place des Promenades à 11h, puis Salle Bonnefille à 14h) :
Saint Leu (Parc du 20 décembre à 10h) :
Strasbourg (Parlement européen à 14h) :
Thionville (Parc Wilson à 11h30) :
 Toulouse (Square Charles de Gaulle à 11h) :
Tours (Place de la Liberté à 14h) :
Liste des mobilisations en Belgique :
Bruxelles (Place de l’Albertine,Gare centrale, à 14h) :
Liste des mobilisations en Suisse :
Bâle (Barfüsserplatz à 13h30)  :
Morges (Grand-Rue à 14h30) :
Liste des mobilisations au Québec
Montréal (Square Dorchester à 14h) :
Québec (Place d’Youville à 14h) :
Saint-Georges (Passerelles,en face de l’Aréna, à 13h) :
Sherbrooke (Marché de la Gare à 14h)


Liste des mobilisations dans le monde :

Revue de presse :

Ajaccio 14 h 30

Besançon à 14 heures Place de la Révolution

Caen à 15h place de la République

Nantes 14h au départ de la place Royale

Strasbourg. Départ 14h devant le Palais des Droits de l’Homme.

C’est l’année du nucléaire,

L’année en cours est propice à remettre le nucléaire au devant de l’actualité. Outre le fiasco des « fleurons » de l’industrie de l’atome, Areva et EDF que l’État doit recapitaliser pour les sauver, nous célebrons les anniversaires des catastrophes toujours en cours de Tchernobyl (30 ans) et de Fukushima (5 ans). Dans ces deux cas la France a une responsabilité et nous avons à rendre hommage aux populations subissant de terribles soufrances. En effet, dans les jours qui ont suivi les explosions des réacteurs, les responables francais de la sécurité nucléaire ont fait pression sur les gouvernements russes et japonais pour minorer la gravité des évènements et retarder l’évacuation des populations contaminées en péril. De plus le réacteur N°3 de Fukushima venait d’être chargé avec du combustible au plutonium (MOX) élaboré à Marcoule.

Dans ce qui suit on trouvera un texte de reflexion de 2 pages, sur la situation actuelle, et la présentation de livres qui viennent justes d’être édités sur cette actualité

Pierre

Une reflexion sur la situation que nous vivons.

Annie et Pierre Péguin, du Collectif Halte Aux Nucleaires Gard (CHANG) et de la Coordination antinucléaire sud-est.

30 ans après Tchernobyl, 5 ans après Fukushima, on nous prépare….à la catastrophe !

Autrefois le nucléaire était sûr, depuis peu, et petit à petit on laisse entendre que la catastrophe est possible. Les installations et les réacteurs vieillissent, l’argent manque, la sous-traitance est trop présente. De plus le terrorisme nous expose au risque d’attentat sur un site nucléaire, ou sur un transport de combustibles radioactifs. L’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) elle même, inféodée au lobby, prend ses distances et lance des alarmes. La situation est peut-être plus grave qu’on ne le croit dans un pays vérouillé par le tout nucléaire électrique et la bombe atomique (mais aussi par le chômage, l’état d’urgence sécuritaire et le libéralisme triomphant). En Belgique également l’inquiétude gagne: deux anciens réacteurs fissurés menacent. Quant aux installations militaires protégées par le secret, on peut s’en inquieter tout autant. Pays guerrier, nous risquons de payer cher le fer et le sang que nous portons en Afrique et au Moyen-Orient.

Le danger atomique maintenant avéré, on ne nie pas que nous pourrions avoir à subir les effets d’une catastrophe, et d’ailleurs on nous y prépare. De plus tout est fait pour qu’on ignore les horreurs vécues par les inombrables victimes du complexe militaro-industriel atomique mondial: secret militaire, subordination des médias, trucage des infos, le nucléaire est propre, circulez il n’y a rien à voir…

Les structures internationales chargées de la sécurité nucléaire (la France y est très présente), à la solde des lobbies, veillent à nier que le nucléaire soit mortifère (4.000 victimes de Tchernobyl pour elles, un million pour l’université de medecine de New York par exemple).

Mais l’actualité permet de bousculer l’omerta de l’information des grands médias: catastrophes toujours en cours en Europe de l’est et au Japon où des millions de personnes condamnées à vivre en zones contaminées en sont victimes, ; fiasco des « fleurons » de l’industrie de l’atome (chantiers des réacteurs EPR de Flamanville et de Finlande aux couts faramineux, faillite d’Areva, surendettement d’EDF); concurrence des énergies moins chères en particulier les renouvelables; necessité pour l’État de dégager discrètement les milliards (nos impots) necessaires pour renflouer cette industrie.

On pourrait croire que le nucléaire est condamné, pas sûr du fait de: L’obstination des nucléocrates élevés dans la religion de ses bienfaits et la confiance de nos politiques avides de croissance; la necessité d’alimenter l’armement atomique gage de la grandeur de la France (nucléaires civil et militaire étant étroitement liés).

Aussi, pour faire accepter par la population ce risque terrible, la stratégie du lobby reste triple : – Nous convaincre qu’avec 3/4 d’électricité nucléaire, on ne peut pas s’en passer, surtout en en developpant l’utilisation massive d’électricité (par le chauffage électrique, la climatisation, et maintenant de la voiture électrique).

– Oeuvrer à ce qu’il n’y ait pas d’alternatives crédibles, on ferme des centrales thermiques, on est à la traîne du développement des énergies renouvelables, de la sobriété et de l’efficacité énergétique.

– Prétendre qu’on peut vivre en zone contaminée, c’est ce que le lobby impose en Biélorussie et au Japon, au mépris de ce que subissent les habitants, et ce pour des générations. Il s’appuie pour cela sur des études menées en biélorussie financées par l’Europe et la France (Ethos, Core, etc).

Les citoyens manifestent, et les gouvernements voisins réagissent : la Suisse s’inquiète des dangers que fait courir la centrale de Bugey (une plainte est en cours), l’Allemagne demande l’arrêt de Fessenheim, et le Luxembourg propose même l’aumone de financer l’arrêt de Cottenom…. La France de plus en plus isolée dans son choix de la plus mauvaise solution pour faire bouillir l’eau necessaire à la production d’électricité.

L’Europe pourrait être confrontée au risque nucléaire le plus grave depuis Tchernobyl, et Euratom (qui a pour objectif de promouvoir à tous prix le nucléaire à l’échelle européenne) a fixé des limites particulièrement laxistes sur les aliments commercialisés en cas d’accident nucléaire. Un règlement scandaleux sera imposé à tous, concu pour minorer le coût pour les Etats, au détriment de la protection des populations. La Criirad a lancé une campagne de mobilisation contre ces normes ; pour Roland Desbordes une hécatombe se prépare. “Alors que personne n’était prêt en 1986, aujourd’hui on sait, et c’est alors beaucoup plus grave” .

Dans le même temps il est prèvu de limiter l’évacuation des zones touchées à 5 kms autour de l’accident, tout simplement parcequ’on n’aurait pas les moyens de prendre en charge les centaines de milliers d’habitants concernés. L’armée sera chargée de gérer les flux de populations cherchant à fuir, seule solution de survie. De même on ne distribue les pastilles d’iode* que dans un rayon de 10kms autour des centrales, alors que les pathologies de la thyroïde dues à Tchernobyl se sont développées à des milliers de kms.

Dès maintenant des études indépendantes montrent que l’ADN de tout le vivant est touché et annoncent un nombre effayant de victimes**. Les dégâts de l’atome nous permettent d’en parler comme d’un crime contre l’humanité qui devrait être jugé comme tel.

Ce choix mortifère menace la population très dense de l’Europe occidentale, il faut arrêter la production nucléaire d’électricité*** et renoncer à l’armement atomique.

*Rappelons que les pastilles d’iode n’ont pour but que de saturer la thyroide avant la contamination par de l’iode radioactif. Cela ne protège en rien l’organisme contre la multitude de radioélèments subis en cas de catastrophe. De plus il faut que cet iode soit absorbé avant d’être touchés par la radioactivité. Autant dire que faute de temps c’est quasi-impossible dans le rayon de 10 kms. …. D’un accident au coeur de la France, peu de gens échapperont à la contamination et à ses dégats.

**Recommandtions 2003 du Comité Européen sur le Risue de l’Irradiation (CERI)

*** Outre un programme exigeant de réduction de la consommation d’électricité, il faudra brûler des hydrocarbures dans les centrales thermiques en attendant que les renouvelables prennent le relais. La part du nucléaire dans la consommation totale finale d’énergie en France étant inférieure à 15 % (dans le monde 2 %), l’augmentation d’effet de serre due à l’arrêt serait modeste -compensable d’ailleurs par des mesures de sobriété.

Et de la lecture :

Nucléaire: la vérité officielle est trompeuse : La Comédie atomique. L’histoire occultée des dangers des radiations, par Yves Lenoir, La Découverte, 320 p., 22 euros

dont voici un commentaire interressant :

8 mai 2016 | Par Jade Lindgaard

Les instances internationales de radioprotection, chargées de protéger les populations des dangers de la radioactivité, minimisent les risques et les dégâts des activités nucléaires : c’est ce qu’affirme Yves Lenoir dans un livre, en cette année de double anniversaire de catastrophe atomique.

Quel est le bilan humain exact des accidents de Tchernobyl et de Fukushima ? À cette question, il n’a jamais été possible de répondre.

Parce qu’il est difficile d’isoler les causes de décès et de maladies des personnes. Mais aussi parce que les instances internationales de radioprotection, chargées de protéger les populations des dangers de la radioactivité, n’ont pas mis en place les outils de recherche nécessaires. Plus grave, elles ont fixé des seuils d’exposition « tolérable » aux rayons ionisants supérieurs aux valeurs préconisées par une partie des médecins. Ces valeurs de référence ont été utilisées par les gouvernements lors des catastrophes de Tchernobyl, en 1986, mais aussi de Fukushima en 2011.

C’est ce qu’explique Yves Lenoir dans son livre /La Comédie atomique, l’histoire occultée des radiations/ (La Découverte). L’auteur n’est ni épidémiologiste, ni médecin. C’est un ingénieur, expert en déchets radioactifs depuis le lancement du programme électronucléaire français dans les années 1970.

Yves Lenoir ne cache pas son opposition à l’usage de l’énergie nucléaire pour ses applications militaires et civiles. Mais en quarante ans de recherches sur les effets des radiations, il a accumulé une quantité impressionnante d’archives, de témoignages et de documents sur les pathologies et les souffrances endurées par les liquidateurs de Tchernobyl, les habitants de sa région, et en particulier les enfants – il préside l’association Enfants de Tchernobyl Belarus. C’est le point de départ de son ouvrage, qui tente de remonter le fil de l’occultation de cette tragédie, jusqu’aux plus hautes instances d’une bureaucratie internationale inconnue du grand public.

Son livre est une enquête historique détaillée sur la création, puis le fonctionnement en toute opacité, dans une culture persistante de l’entre soi, des instances internationales de radioprotection, placées sous l’égide de l’ONU. Il fait aussi l’hypothèse d’un imaginaire de la radiation, commun aux concepteurs de l’armement nucléaire (depuis le Manhattan Project dans les années 1940) et aux promoteurs de son utilisation en médecine et en production d’électricité. Il s’en explique dans cet entretien vidéo réalisé à Mediapart le 4 mai 2016. .

Et dans le Nouvel Obs, cette chronique d’Anne Crignon

Nucléaire : déni et mensonges d’Etats

Le nucléaire est un danger pour l’humanité. Trois livres bien informés bousculent le mythe de l’atome sous contrôle.

Une fois survenue, toute catastrophe nucléaire tend vers l’infini. C’est la morale de Tchernobyl. Des dizaines de milliers de liquidateurs, ces travailleurs chargés de «liquider» les conséquences de l’accident, sont morts. D’autres mourront. Le site posera problème pendant des ­milliers d’années. On invoque «les trente ans de Tchernobyl» comme on célébrerait un événement de l’histoire ancienne, mais trois essayistes prennent la plume contre l’illusion qu’un désastre nucléaire est réparable.

L’historienne Galia Ackerman a voyagé dans la zone interdite, et le journaliste Arnaud Vaulerin a rencontré «les humains jetables» de Fukushima, sacrifiés eux aussi. L’ingénieur Yves Lenoir, membre en 1974 et 1975 d’un groupe interministériel sur les déchets radioactifs, publie trois cents pages méticuleuses sur l’histoire des rayons depuis 1895 et la façon dont les dangers ont été savamment minorés pour servir «l’entrée de l’humanité dans l’âge de l’énergie atomique».

L’auteur commence par pilonner la distinction atomique/nucléaire qui fut introduite dans les années 1950 et les esprits pour défaire le lien entre la bombe et l’énergie nucléaire. Les centrales sont bel et bien ­atomiques.

Tout est fait pour le faire oublier, depuis l’accident d’octobre 1957 dans le nord-ouest de l’Angleterre, quand un réacteur de Windscale s’est enflammé, diffusant son iode radioactif jusqu’en Norvège.

Pour sauver la réputation de l’atome civil, l’OMS invente alors les cinq piliers de la communication de crise, toujours en vigueur: le déni (accident pas si grave, tout va s’arranger), les mensonges sur la santé (la peur d’avoir été irradié induit plus de maladies que l’irradiation elle-même), le dénigrement de la pensée humaniste, la rétention d’information, la saturation de l’espace médiatique.

Du côté de Tchernobyl, aujourd’hui, on court le risque de faire la soupe avec des champignons qui, en France, seraient stockés dans une alvéole bétonnée. Une altération de la fonction cardiaque apparaît, d’autant plus grave que la contamination par le césium 137 ingéré est élevée. L’insolite est inquiétant. Du blé pousse, d’un genre disparu depuis l’Antiquité.. On voit des oiseaux atteints de cataracte devenir aveugles et mourir de faim.

“Le mythe de l’atome radieux”

En Russie, Ukraine et Biélorussie, les enfants nés quinze ans après l’accident sont fragiles: leurs parents leur ont transmis des systèmes immunitaires affaiblis, et l’instabilité génomique (les erreurs de réplication dans l’agencement des chromosomes) va augmentant, génération après génération. Partout, des chercheurs indépendants font un tout autre constat que celui des institutions de l’orbite onusienne comme la Commission internationale de Protection radiologique (CIPR), qui ont organisé le déni autour de Tchernobyl et tenté de sauver «le mythe de l’atome radieux», pour reprendre la formule d’Arnaud Vaulerin dans son livre sur Fukushima.

Depuis mars 2011, 45 200 nettoyeurs sont passés sur le site. Ils charrient des tonnes de terre pour la mettre dans des sacs, entassés par milliers, et, «jour et nuit, s’efforcent de maintenir à flot ce Titanic atomique en jouant au chat et à la souris avec les sieverts». Un été, l’un d’eux qui étouffait dans sa combinaison à 45 °C a vu deux camarades mourir d’un arrêt cardiaque.

Un autre s’est irradié le pénis avec ses gants en allant uriner – pour régler le problème, certains ouvriers portent des couches.

Les deux tiers ont un salaire minable, sans rapport avec la dangerosité de la mission, 837 yens de l’heure (6 euros). Huit cents sociétés travaillent sur le site et emploient chaque jour 7 000 ouvriers. Dans «ce Far West de la décontamination», à peine 10% de la main-d’œuvre est formée pour le nucléaire, tant pis pour le rafistolage. En France, les élus travaillent-ils à prévenir l’accident dans nos centrales vieillissantes ?

Traverser Tchernobyl, par
Galia Ackerman, Premier Parallèle, 230 p., 18 euros.

La Désolation. Les humains jetables de Fukushima
, par Arnaud Vaulerin,Grasset, 224 p., 20 euros.

La Comédie atomique. L’histoire occultée des dangers des radiations, par Yves Lenoir, La Découverte, 320 p., 22 euros

TRANSACTEURS : les acteurs de la transition Ecologique Solidaire

Nos petites associations sont trop dispersées pour s’opposer efficacement aux lobbies puissants auxquels nous sommes confrontés.
La multiplicité des appellations va dans dans le sens de la biodiversité mais est inefficace pour toucher le grand public.
Il s’agit donc d’inventer un réseau économique qui permette de concilier l’efficacité d’une appellation commune sur l’ensemble du territoire pour contribuer à rendre l’idée de transition écologique solidaire majoritaire et la biodiversité des associations et structures locales, régionales, nationales.

Notre proposition c’est de mettre à la disposition de structures de coordination au niveau d’un territoire ayant pour objet de mettre en place une vitrine commune et des animations communes sur le territoire, un site leur permettant de proposer à différents types d’acteurs de financer cette structure commune dans le cadre d’une stratégie économique gagnant-gagnant pour chacun des acteurs en s’inspirant de ce que nous essayons de mettre en place sur Quimper depuis 3 ans.

L’idée c’est à travers nos cyber-amis d’inviter tous les acteurs intéressés à débattre de ce projet pour l’enrichir et en faire un projet collectif avec le maximum d’acteurs. Pour cela nous recherchons au niveau des capitales régionales des partenaires intéressés susceptibles sur une journée dans la première quinzaine de septembre d’organiser en journée une rencontre avec des acteurs de leur territoire et en soirée une rencontre-débat tout public.

En complément de leur colocation depuis septembre 2012, Al’terre Breizh, cyberacteurs et Sens et
Habitat ont créé avec Biocoop Quimper et Approche Eco-habitat Confluences pour la Planète. Des ecofoires, des soirées-débat ont ainsi été organisées. Faute de financements pérennes et dans une période de déclin des subventions des collectivités, les membres de Confluences ont entamé une réflexion sur un partenariat gagnant-gagnant qui permettrait de dégager des fonds pour les actions communes.

Dans le cadre du projet Alliances Citoyennes de la Transition Ecologique Solidaire porté par l’Association Cyberacteurs, des associations, des entreprises, des consomacteurs, des collectivités décident de créer Transacteurs association visant à mettre en commun des moyens pour
Financer des locaux et une vitrine commune permettant de faire connaître toutes les activités allant dans le sens d’une Transition Ecologique Solidaire.
Financer des animations visant à faire connaître la Transition Ecologique Solidaire et ses différents acteurs sur le territoire de la Cornouaille : écofoire, soirées-débat, forum, projections de films, organisation de spectacles
Mettre en place une liste de diffusion permettant de faire connaître toutes les animations organisées par les différents acteurs de la Transition Ecologique Solidaire sur le territoire de la Cornouaille

Les recettes de l’assocation proviendront
1 des contributions des locataires des locaux gérés par l’association
2 des cotisations des associations à raison d’un euro par adhérent de la structure sur le territoire
3 des cotisations des entreprises à raison d’1/000 de la Chiffre d’affaires
4 des subventions des collectivités adhérentes et soutien de l’initative
5 des dons et logs des particuliers
6 des recettes des manifestations organisées par l’association

Créer au niveau de la structure de pays une économie circulaire en faveur de la Transition Ecologique Solidaire.

En contrepartie de leur adhésion à l’une des structures adhérentes à transacteurs.fr

Les consomacteurs auront une carte qui pourra leur permettre d’obtenir des remises dans les entreprises adhérentes et les animations organisées par transacteurs.fr.

les entreprises pourront afficher «passer aux ACTES : je soutiens Transacteurs 2016», bénéficier d’une page de présentation de leur activité et des services (agenda, revue de presse, annuaire, Blog …) de transacteurs.fr

les associations bénéficieront d’une page de présentation de leurs activités et des services (agenda, revue de presse, annuaire, Blog …) de transacteurs.fr et de la possibilité de faire connaître leurs activités par la liste de diffusion de transacteurs.fr auprès de tous les adhérents de toutes les structures adhérentes.

Les collectivités trouveront dans la vitrine et chez les adhérents de transacteurs.fr la possibilité de faire connaître les politiques qu’elles mettent en place en faveur de la Transition.
Les artistes trouveront sur le site la possibilité de se faire connaître des associations membres de transacteurs.fr susceptibles d’organiser des animations avec eux

SONDAGE Corrida

Traduction
Le maire de Saint-Sébastien, Eneko Goia, a indiqué que la plate-forme antitaurine qui promeut la réalisation d’une consultation sur les corridas dans les arènes municipales d’Illunbe a réuni les signatures nécessaires pour mener à bien ce vote, qui pourrait avoir lieu en septembre.

Cette date dépend de deux décisions. La première des tribunaux de Justice, parce que le règlement de consultations a été contesté par l’Administration de l’État, bien que le maire ait indiqué l qu’on attend un verdict avant deux mois.

La deuxième est que la consultation ne peut coïncider avec aucun processus électoral et en Euskadi les élections autonomes pourraient avoir lieu en automne.

Doit-il y avoir des corridas à San Sébastien ? Votez

http://www.diariovasco.com/san-sebastian/201604/18/consulta-sobre-toros-donostia-20160418115953.html

Le lien fonctionne on est passé à 53/47

Il faut donc continuer à mobiliser.

ATTENTION : Dans Firefox, avec Adblock qui supprime les pubs le bouton Votar disparait. Il faut retirer temporairement Adblock !
ou changer de logiciel d’accès à internet.

demande de manuels scolaires usagés

Bonjour

Je vous demande de faire paraître notre demande de manuels scolaires usagés , en particulier ceux du niveau lycée .
Je vous joins ci dessous un schéma d’article ainsi qu’une feuille avec la répartition des 55 000 bénéficiaires et la localisation des chefs -lieux de régions .Koumra et Sarh .Par internet , je peux vous envoyer de nombreux documents écrits, photos ou vidéos . Je suis à votre disposition pour préparer cette demande .Recevez mes respectueuses salutations

Collèges et lycées francophones , tous unis !
Donnez aux élèves du Moyen Chari (Tchad) vos manuels usagés .les envoyer à Serge Levillayer ,1 rue saint Paul 50 400 Granville
Chaque année , en France 40 millions de manuels scolaires sont détruits après usage . On peut compter que cela fait pour les manuels de mathématiques et de sciences au niveau secondaire 3 millions , pour la Normandie , cela en fait des centaines de milliers et pour notre département de la Manche , des dizaines de milliers
Chaque année , l’alphabétisation fait des progrès dans les pays subsahariens et en 2020 ce seront 20 millions d’élèves qui accéderont au secondaire . Au Tchad , ce seront près d’un million et au Moyen Chari (6 départements ) , ce sont déjà 50 000 en 2016 .Le Moyen Chari est une région grande comme la Normandie et aussi peuplée où il y a 250 établissements secondaires .
En 2015, ces 50 000 élèves disposaient de 50 000 manuels dont une bonne partie a été fournie grâce au recyclage des manuels obsolètes colléctés en Normandie (1993=25 000 , puis 2001 10 000 ) . En 2015 , la fourniture d’un conteneur de 22 500 manuels a permis la dotation de 67 établissements du Mandoul dont 20 en ont reçu pour la première fois, pour les professeurs dans leur matière
Nous vous demandons de contribuer à la dotation d’un lot équivalent pour la rentrée 2016-17 . Nous vous demandons de mettre fin à ce scandale d’élèves sans manuels alors qu’il y a des mauels sans élèves.Nous sommes la délégation manchoise d’Agir ABCd .Le financement du transport d’un conteneur entre Granville et Sarh revient à 8 000 € . Les livres les plus appréciés sont les dictionnaires , les livres d’exercices de grammaire et orthographe , les manuels de maths, sciences , les annales de brevet et de bac ,les encyclopédies , les livres convenant à l’Afrique .
Les dons financiers peuvent être défiscalisés . Les dons en livres peuvent être envoyés à Serge Levillayer 1, rue Saint Paul 50400 Granville . Des regroupements peuvent être envisagés dans les chefs lieux de régions .
AGIR ABCD Association générale des intervenants retraités pour l’aide bénévole à la coopération et au développement
Jacques Robert 06 62 10 85 98 agirabcd50@orange.fr

Journal des bonnes nouvelles du 21 avril

La culture du maïs OGM Mon 810 reste interdite en France malgré l’avis contraire du Conseil d’Etat
La Ligue des droits de l’Homme s’attaque aux compteurs Linky
La prime à l’embauche dynamise l’emploi dans les TPE
L’action non-violente pour le climat et contre les fossiles est efficace
Ecologie : l’histoire extraordinaire du village d’Ungersheim en Alsace

e quotidien du 21 avril

Nigeria: les familles reçoivent une preuve de vie des lycéennes de Chibok

21/04/16 La population mondiale de tigres a augmenté pour la première fois en 100 ans

Chantiers au Qatar : Vinci condamné à verser à Sherpa 3.000 euros pour ses frais de justice

Paris : des activistes perturbent le sommet international du pétrole

Des photos de la manif

Nous n’y sommes pour rien mais nous nous réjouissons des bonnes nouvelles du 20 avril d’Amnesty Belgique :

Egypte Mahmoud Hussein est libre !

Birmanie : Phyoe Phyoe Aung, « The Unity 5 », et des manifestants libérés !

RDC : Bemba coupable : tournant historique pour les droits humains

Bosnie : Radovan Karadžić reconnu coupable

QATAR Fin de quatre ans de calvaire pour le poète Mohammed al Ajami

Norvège Etape importante : reconnaissance juridique des personnes transgenres

Philippines Un espoir est permis pour Jerryme Corre !

Azerbaïdjan Un défenseur des droits humains libéré

Chine : Un journaliste chinois libéré

Disparitions forcées au Mexique : espoir d’une évolution politique

Urgent, votez No à la corrida de San Sebastian.

merci de partager  un max.

Sí 72.92%   
No 27.08%

Spécial Ondes : Linky, Antennes

Linky : les actions en cours

Pétition : Avec le Linky, ce sera l’état d’urgence permanent ! Pas de Linky à Montreuil!
cyberaction N° 791: Linky, nouvelle boîte de Pandore pour les communes
cyberaction N° 775: Non au compteur LINKY : un non-sens économique, écologique et sanitaire

Antennes : les pétitions en cours

Pétition : Non aux antennes 4G rue Trousseau-75011-Paris
Pétition : Contre l’installation relais téléphonie mobile de Bouygues télécom.

SONDAGE. Les compteurs Linky ne vous inspirent pas confiance

VRAI / FAUX sur les compteurs « intelligents » (télérelevé)
1- “Les compteurs n’émettent pas plus de 5 secondes par jour, soit moins de 0,01% du temps de la journée, donc ce n’est pas dangereux.’’
2 – Les opérateurs de la distribution de l’eau parlent d’une puissance très faible de 25 mW* pour ces compteurs. Très faible selon eux comparée à celle du téléphone portable.

LINKY – non merci. Compteur électrique dit « intelligent »
COMPTEUR électro-polluant et doté de sérieux inconvénients.

Liste succincte des 10 premiers inconvénients du LINKY

Compteurs communicants : pourquoi il faut resister au diktat des politiques et industriels

Les Communes peuvent refuser les compteurs Linky et Gazpar !
104 recensées à ce jour

Menu pour les communes :
Communes : voici comment refuser les compteurs communicants

Les communes ont le droit de refuser les compteurs communicants

Rappel : Les collectivités sont propriétaires des compteurs d’électricité

Quelles conséquences en cas de refus des compteurs communicants ?

Les conseils et le document qu’il vous faut face à ErDF et cie

Que faire lorsqu’un administré veut avoir un Linky ? Infos générales à connaître :

Refus individuels ou refus par les communes ? Que faire ?

Demandez à vos élus de refuser ou retirer les compteurs Linky

Avec Linky, pas d’économies mais des factures plus lourdes

Alerte aux compteurs communicants d’eau

A propos des études de l’Anses et du Criirem