Coup d’arrêt au projet de port de Plougasnou

ainsi le PLU de Plougasnou est annulé et le projet de port au Diben avec son complexe immobilier déguisé, s’il n’est pas annulé et au moins compromis. Cette victoire est celle de trois associations. D’abord l’APPBS qui a porté le dossier. Ensuite celle de Sauvegarde du Trégor et Force 5 qui l’ont soutenu sans faille.
Cette victoire est surtout celle de toutes celles et ceux qui ont toujours continué à faire confiance à ces trois associations. Aujourd’hui elles et ils savent que c’est le combat opiniâtre qui paye, plus que des consensus autour de thèmes et de projets que nous n’avons pas choisis. Nous sommes forts parce que nous nous battons ensemble et sans concession pour nos idées, faibles quand nous cherchons du soutien et des réconforts du côté du pouvoir actuel et passé en croyant les faire avancer.
Notre victoire est aussi un cinglant désaveu pour les élus majoritaires de Morlaix Communauté. Ils ont financé des centaines de milliers d’euros pour des études qui ont été incapables de voir, comme le nez au milieu de la figure, les zones humides marines sur le site projeté pour ce port. Ils ont méprisé nos avis et nos alertes, ils en payent le prix. Ou plutôt, ils en font payer le prix à leurs électeurs contribuables. Dans ce naufrage démocratique, il faut saluer le courage de Christine Prigent et de Michel Le Saint, élus EELV qui n’ont jamais cessé de dénoncer cette gabegie écologique et économique.
Cette victoire est aussi un avertissement aux citoyennes et aux citoyens. Il est encore temps qu’elles et ils disent à leurs représentants que le temps politique n’est plus aux dépenses inconsidérées et superflues. D’autres projets sociaux et économiques méritent plus qu’un port de plaisance hérité des mentalités des années soixante-dix. A elles et eux de s’en souvenir pour le choix de leurs futurs représentants.
Bien cordialement.
Yves Marie Le Lay

POUR UN PÔLE PUBLIC FINANCIER AU SERVICE DES DROITS


COLLECTIF ” POUR UN PÔLE PUBLIC FINANCIER AU SERVICE DES DROITS !”

CGTG IEDOM/AFD GUADELOUPE, CGTR IEDOM/AFD REUNION, SNB CFE-CGC IEDOM/AFD GUADELOUPE, SNB IEDOM/AFD MARTINIQUE, CGT MA IEDOM MAYOTTE, SNUCLIAS-FSU, CREDIT FONCIER : CFTC, CFE/CGC, CGT, SU/SNA, et CFDT (sous délégation SPUCE), CAISSES D’EPARGNE (COLLECTIF NATIONAL CGT CAISSES D’EPARGNE, SNP FO), SNUP- CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS – FSU, CGT GROUPE CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS, CGT BANQUE DE FRANCE, CGT AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT, SPUCE CFDT (PARIS- ILE DE FRANCE : BANQUE DE FRANCE, CAISSES D’EPARGNE, CREDIT FONCIER, AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT), INDECOSA CGT, UNION SYNDICALE SOLIDAIRES, FEDERATION CGT FINANCES, FEDERATION CGT BANQUE ET ASSURANCE, FEDERATION SUD PTT, UNION FEDERALE DES RETRAITES CGT DE LA BANQUE ET DE L’ASSURANCE

Et

AFVS (Association des familles victimes du saturnisme), AITEC (Association internationale des techniciens et chercheurs), ATTAC FRANCE, FONDATION COPERNIC, MARCHES EUROPEENNES, DAL (Droit au Logement), CONVERGENCES POUR LES SERVICES PUBLICS, COORDINATION NATIONALE DE DEFENSE DES HOPITAUX ET DES MATERNITES DE PROXIMITE, RESISTANCE SOCIALE

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Diffusion : Parlementaires, Associations d’élus locaux, Presse, Adhérent(e)s des organisations membres du Collectif, Personnels des établissements du secteur public et semi-public économique et financier et de l’ensemble du secteur bancaire, mouvement syndical et mouvement social.

Paris, le 17 octobre 2012

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,

Nous portons à votre connaissance, en pièce jointe, la Lettre ouverte adressée, ce jour, à Monsieur François Hollande, Président de la République, et relative au projet de loi portant création d’une banque publique d’investissement qui va être présenté, dans quelques heures, en conseil des ministres .

Veuillez agréer, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, l’expression de nos meilleurs sentiments syndicalistes et associatifs.

Le Collectif “Pour un Pôle public financier au service des Droits”

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LETTRE OUVERTE À MONSIEUR FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
BANQUE PUBLIQUE D’INVESTISSEMENT …
Un autre choix est possible, un autre choix doit être fait.

Paris, le 17 octobre 2012
Monsieur le Président,
Aujourd’hui est présenté, en Conseil des ministres, le projet de loi relatif à la création de la banque publique d’investissement (BPI). Un projet qui malheureusement, faute d’avoir été réellement débattu et concerté, ne sera pas un projet partagé par le mouvement syndical et le mouvement social.

Votre ministre de l’Economie et des Finances n’a pas souhaité engager ni avec les Confédérations, ni avec les Fédérations professionnelles et les organisations syndicales concernées (notamment celles de la Caisse des dépôts et consignations, du Fonds stratégique d’investissement, d’OSEO, de l’Agence Française de développement en charge de la représentation d’OSEO dans les DOM, de la Coface, d’UBIFRANCE …) le dialogue préalable spécifique qui aurait permis d’atteindre cet objectif si tant est qu’il ait été souhaité.

Croyez bien que nous avons retenu l’engagement que vous avez pris, publiquement et solennellement à l’occasion de votre discours introductif à la grande conférence sociale du début de l’été, selon lequel : “L’ampleur des réformes que nous sommes en train d’engager trouve sa justification dans la conviction absolue qui est la mienne que notre organisation sociale produit aujourd’hui plus d’injustice que de justice, qu’il faut donc en changer et que c’est un nouveau contrat social, profondément renouvelé, profondément différent, que nous devons élaborer ensemble. Mais l’urgence de la situation ne saurait en aucun cas justifier que l’on méprise le dialogue social”.

Pourtant, notre Collectif qui inclut notamment des représentants des personnels concernés par ce projet de BPI et qui compte également des associations citoyennes et de lutte contre l’exclusion, mobilisées en faveur de la nécessaire réappropriation de la finance au service de l’intérêt général, s’est vu opposer, par le ministre de l’Economie et des Finances, plusieurs fins de nonrecevoir à nos demandes successives d’entrevue pour débattre de ce projet de loi ainsi que de la future réforme de l’épargne réglementée annoncée publiquement par Monsieur Moscovici comme “sans aucun tabou”.

Au moment où notre pays entre en stagnation et doit faire face à une rigueur que beaucoup qualifient d’historique, où le chômage atteint un niveau jamais connu depuis la fin des années 90, ce projet de BPI aurait dû être l’occasion de rassembler largement l’ensemble des parties prenantes y compris les organisations syndicales, les fédérations professionnelles, les acteurs de la société civile.

Au lieu de cela, la presse a rendu compte d’échanges quasi exclusifs entre Bercy, la Banque Lazard, les directions des différents établissements concernés et l’Association des Régions de France (sans jamais évoquer les autres associations d’élus locaux alors que dans sa déclaration de politique générale le Premier ministre a pris l’engagement suivant devant la représentation nationale : “Des activités génératrices pour la croissance bénéficieront du soutien de la future Banque publique d’investissement qui sera mise en place avant la fin de l’année et qui travaillera en liaison étroite avec les territoires et particulièrement les régions”. Particulièrement ne signifie pas exclusivement).

Cela est d’autant plus regrettable que vous vous êtes engagés devant les Français(e)s en faveur de la mise en place de déclinaisons spécifiques de la BPI dans les banlieues et en outre-mer. Les représentants des populations de ces territoires ont-ils été réellement consultés sur le projet présenté, ce matin, en conseil des ministres ?

Pour notre part, nous avons demandé solennellement, par courrier, à Monsieur Moscovici de vous saisir de notre demande que cet engagement en faveur des territoires soit élargi au monde rural et à ses 11 millions d’habitants car nous sommes profondément convaincus que cet espace, qui représente géographiquement la majorité du territoire national, dispose de nombreux atouts et constitue un territoire d’avenir, notamment dans le cadre de la conversion écologique de l’économie.

Nous partageons l’analyse faite par le Groupe Monde rural (Association des maires de France, Assemblée des départements de France, Association des maires ruraux de France, Assemblée des Conseils Économiques, Sociaux et Environnementaux Régionaux etc.) selon laquelle le monde rural peut, dès lors qu’on lui en donne les moyens, favoriser un développement territorial équilibré et vivable basé sur de nombreux emplois non délocalisables pouvant contribuer au développement des énergies renouvelables, participer à la réduction d’émission de gaz à effet de serre, produire et préserver de la biodiversité notamment au travers d’une production agricole repensée …

Il nous semble également nécessaire de tirer le bilan de la séquence qui a modifié le statut “à but non lucratif” des Caisses d’Épargne, enterré ses missions générales, banalisé la distribution du livret A avec la captation par les banques de 35% de l’épargne réglementée (soit environ 115 milliards d’euros, montant que l’on peut rapprocher de celui qui serait alloué à la BPI : 40 milliards d’euros selon les informations publiées dans la presse. Avec cette précision apportée par le journal Le Monde dans un article en date du 10 octobre 2012 : « Il faut noter que, sur ce total de bilan, la grande majorité des capitaux est déjà investie. Il resterait environ 3,5 milliards d’euros disponibles dans le FSI. » ) et cela sans qu’aucune contrepartie d’intérêt général ne soit exigée du secteur bancaire et sans que cela corresponde à aucune injonction préalable de la Commission européenne. Au terme de cette séquence, il y a lieu d’analyser le désastre financier de Natixis et la constitution du groupe BPCE dont un certain nombre de leçons sont à tirer.

Ce que nous pensons, c’est que, pour avoir une réelle portée, le projet de banque publique d’investissement doit désormais faire l’objet d’un véritable débat national sous l’égide du Parlement et se libérer du contrôle étroit – et pas toujours désintéressé – de ce petit monde issu du même cercle qui régente l’ensemble des questions industrielles et financières de notre pays.

Nous appelons le Parlement à ne pas passer directement à l’examen du projet de loi qui va être présenté, aujourd’hui, en conseil des ministres, et à engager le dialogue qui n’a pas été réalisé avec l’ensemble des parties prenantes (organisations syndicales, fédérations professionnelles et Confédérations, acteurs de la société civile et de la lutte contre les exclusions, associations d’élus locaux, ONG investies dans la conversion écologique de l’économie – qui constitue l’enjeu central des investissements d’avenir avec le soutien à l’innovation, représentants des milieux économiques et des directions concernées …)

Nous espérons sincèrement être entendus car notre démarche est toute entière dédiée à l’intérêt général.

Pour notre part, nous pensons que le projet de BPI doit être mis au service du développement de l’emploi, de la transition écologique et de contrats de travail respectueux des salariés. Sa mise en place demande un suivi approprié à propos duquel aucune garantie n’a été prise pour l’instant, puisque le personnel des institutions financières concernées n’a même pas été consulté.

Les attentes de la population en âge de travailler et des électeurs de notre pays correspondent à ce que nous appelons le droit à l’emploi et à un revenu décent et le droit à la conversion écologique de l’économie. Cela signifie que les crédits alloués et les investissements réalisés par la future BPI le soient en fonction de véritables critères sociaux (emplois stables, qualifiés au besoin par la formation et correctement rémunérés) et environnementaux cohérents avec une perspective de développement humain durable.

Nous estimons indispensables que cette banque “publique” d’investissement, propriété de la République, fasse l’objet d’un véritable contrôle social et citoyen permettant, notamment, aux représentants des exclus, des précaires, des chômeurs et des salariés ainsi qu’aux usagers de la BPI et à leurs représentants de peser sur les choix qui seront réalisés par cette banque (participation aux orientations et aux choix stratégiques).

Nous souhaitons que, dans chaque région, la BPI rende compte, chaque année, de son action auprès des Conseils Économiques, Sociaux et Environnementaux Régionaux (CESER) et qu’une synthèse nationale annuelle soit élaborée par le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE).

C’est dans ce cadre que nous soutenons le principe d’une principe d’une approche déconcentrée et territorialisée de la banque publique d’investissement qui se doit naturellement d’apporter aux personnels directement concernés toutes les garanties qu’ils sont en droit d’attendre.

Nous demandons également que les moyens financiers dont disposera la future BPI soient à la hauteur des besoins économiques et sociaux de la population et des territoires et, notamment, qu’une partie des fonds de l’assurance-vie qui bénéficie d’abattements fiscaux considérables (confirmés par le projet de loi de finances) soient fléchés vers cette banque publique.

De même nous demandons qu’après le doublement du plafond du Livret de développement durable soit réalisé, sans attendre, le doublement du plafond du Livret A et la centralisation intégrale de la collecte à la CDC (afin de financer prioritairement la construction, chaque année, de 200 000 logements sociaux et d’urgence, la mise en œuvre d’un vaste programme de rénovation énergétique et de soutenir l’emploi dans le bâtiment, secteur en difficulté très majoritairement composé d’emplois non délocalisables. Le surplus de collecte pouvant naturellement être utilisé en faveur du financement des services publics et des collectivités locales). En outre, nous demandons la création d’un Livret (ou d’un plan) d’épargne pour l’emploi industriel entièrement dédié au financement des activités productives dans le cadre d’une politique de soutien à l’innovation, à l’exportation et à la conversion écologique de l’économie.

En effet, la BPI, telle qu’elle est envisagée à ce stade, est manifestement sous-dotée financièrement et ne pourra contribuer efficacement au redressement productif et industriel attendu.

La BPI ne doit pas simplement viser à pallier les carences des banques commerciales dans l’exercice de leur mission première de financement de l’économie mais doit également impulser une dynamique de financement apte reconstituer dans le pays des filières industrielles porteuses d’emplois et à susciter prioritairement un véritable réveil de l’innovation technologique susceptible de déclencher une dynamique vertueuse dans la reconquête de l’emploi.

Elle doit également s’adresser aux TPE et pas simplement aux PME et Entreprises de taille intermédiaire comme cela est envisagé. Toutes les entreprises qui rencontrent des difficultés pour se financer auprès du secteur bancaire classique – et c’est manifestement le cas de nombreuses TPE – doivent pouvoir solliciter la BPI qui, en lien avec les acteurs de l’économie sociale et solidaire et après analyse des risques, appréciera si la demande de crédit ou d’investissement sollicitée correspond aux orientations fixées en la matière. Cet élargissement aux TPE nécessite que la BPI dispose des moyens financiers adéquats.

Enfin, nous souhaitons que soit examiné très sérieusement l’apport que constituerait un partenariat – et non une intégration – entre “les dispositifs d’accompagnement des entreprises de la Banque postale et de la Banque de France (et ceux de l’IEDOM)” et ceux de la BPI. Interrogé à ce sujet par un représentant syndical de la Banque de France, le directeur de cabinet de Monsieur Moscovici a répondu : “Vous êtes le premier à m’en parler” . Ce principe figure pourtant en toutes lettres à page 4 du projet socialiste 2012 :

Cela est d’autant plus indispensable, s’agissant de la Banque de France, que les chiffres officiels de la médiation du crédit lui attribuent la sauvegarde de 259 000 emplois sur une période relativement courte (de novembre 2008 à fin 2011). Aucune autre institution publique n’est en mesure d’afficher une telle contribution à la défense de l’emploi. C’est pourquoi les PME ont demandé la reconduite de cette mission. Les missions d’expertise de la Banque de France au service des collectivités territoriales et des PME et sa connaissance sans égale des milieux bancaires et économiques dans tous les territoires ne peuvent que conforter l’action de la BPI.

Monsieur le Président de la République, par cette Lettre ouverte, nous vous demandons d’entendre notre appel en faveur de la réorientation de la finance au service de l’intérêt général, à travers un projet de banque publique d’investissement réellement débattu et concerté avec l’ensemble des parties prenantes, intéressées par cette démarche, et s’inscrivant résolument dans une politique de reconquête de l’emploi durable dans tous les territoires, de conversion écologique de l’économie et de satisfaction des besoins économiques et sociaux.

A cet effet, il nous semble indispensable de travailler sur le lien entre BPI et secteur bancaire privé et mutualiste afin que des synergies soient mises en place avec des financements conjoints. La loi bancaire pourrait utilement préciser les synergies et liens à tisser entre BPI et secteur bancaire dans le cadre, par exemple, de missions générales relevant de l’ensemble du secteur bancaire.

Nous vous prions de demander à votre gouvernement de ne pas prendre de dispositions précipitées qui ne permettraient pas au Parlement, s’il le souhaite, d’engager et d’approfondir le débat véritable et ouvert, que nous appelons de nos vœux, autour du projet de loi de banque publique d’investissement présenté, ce matin, au conseil des ministres par Monsieur Pierre Moscovici.

Croyez, Monsieur le Président, à l’expression de notre haute considération.

Le Collectif « Pour un Pôle public financier au service des Droits ! »
www.pourunpolepublicfinancier.org
et
www.fondation-copernic.org

Projet transport Quimper Communauté : contribution mai 2012

Monsieur le Président de Quimper Communauté,

Ayant en mémoire les affiches 4m*3m de la campagne des municipales de 1989 présentant un Quimper encombré de voitures, je ne peux que me réjouir de vous voir enfin préparer le Quimper du 3è millénaire qui verra la fin du pétrole et la flambée des prix de l’énergie et penser des transports publics à la hauteur des enjeux des changements climatiques.

Communication zéro pointé
Je m’étonne que vous vous étonniez du peu de participation car rien n’indique dans la communication “le projet avance” que les citoyens ont jusqu’au 7 mai pour s’exprimer.

En tant qu’utilisateur des transports en commun, je n’ai rien vu qui pouvait m’inciter à penser que mon avis était attendu.

Un seul dossier dans la salle des grands projet de Quimper Communauté sans possibilité de s’asseoir pour prendre le temps de lire ce dossier impossible à télécharger ne me parait pas propice à inciter non plus à la participation.

Projet Rive droite

Pour la rive droite les travaux d’embellissement, la zone piétonne et les Transports en commun, pour la rive gauche les voitures avec la seule rue Sainte Catherine piétonne. Il me paraîtrait souhaitable d’accompagner ce projet de restructuration des transports en commun et de rénovation de la gare par un projet d’éco-quartier sur la rive gauche de l’Odet qui se trouve être l’une des zones de Quimper où habitent le plus de personnes en difficulté (familles monoparentales, faibles revenus, logements en mauvais état..).

La valeur de l’exemple

Que les élus montrent l’exemple serait le meilleur moyen de convaincre que les transports en commun ne sont pas réservés qu’aux scolaires, aux personnes du troisième âge ou aux titulaires des minimas sociaux.

Actions en direction des Syndicats et des Associations

L’enjeu c’est de convaincre les habitants de Quimper Communauté mais aussi les Cornouaillais qui travaillent sur Quimper d’utiliser les transports en commun pour réserver les parkings les plus proches du Centre pour les visiteurs ou les chalands.

Quimper n’est pas Nantes où les parkings de périphérie reliés au Tramway fonctionnent très bien et il faudra sans doute du temps avant que cette manière de faire rentre dans les moeurs. Il me semblerait souhaitable en complément des 3 parkings prévus
– de rendre payants ou en zone bleue les parkings permettant de gagner le Centre en moins de 10 minutes (allées de Locmaria, Tourbie, début de la rue Pen Ar Stang…)
– d’attribuer à la fonction relai entre la voiture et les transports en commun des parkings plus proches du Centre et/ou près d’accès à 2 lignes de bus en intégrant dans les horaires affichés sur ces parkings les lignes venant des autres communes de Quimper Communauté et éventuellement du réseau départemental pour démultiplier pour les utilisateurs les possibilités de liaison avec le centre ville
Bourg d’Ergué : lignes 2 et 9
Lebon : lignes 11 8 et7
Croix des gardiens lignes 5-10-11 Plogonnec
Cosquer-Pontigou : lignes 7 et 11
Ludugris : ligne 9 Plomelin Pluguffan
Secteur de la Quimpéroise (Haut de pen Ar Stang ) lignes 1 et 2
Centre commercial de Kermoysan lignes 1 et 2

Comme cela supprimerait des places aujourd’hui gratuites utilisées à la journée par des personnes travaillant sur Quimper, une concertation avec les syndicats et la création d’un tarif “remonte-pente” prix en charge par les employeurs des personnes venant de l’extérieur et laissant leur voiture dans les parkings relais ainsi que la diffusion de l’information sur le fait que les employeurs doivent prendre en charge la moitié des abonnements de leur salariés utilisant les transports pourrait permettre de convaincre les salariés de modifier leurs habitudes.

En ce qui concerne les associations, il me semblerait judicieux de négocier avec les QUB la possibilité pour les associations d’annoncer dans et sur les bus leurs animations quand il y a des tarifs préférentiels ou la gratuité pour les titulaires d’une carte de transport.

Elargir aux loisirs les possibilités d’utilisation des transports en commun
– en proposant avec le Syndicat d’Initiative et le Conseil Général gestionnaire du réseau départemental des balades à la journée
– négocier avec les collectivités adhérentes du GART la possibilité pour les usagers d’utiliser leurs transports en commun pour les titulaires d’un titre QUB valide (annuel ou mensuel) ou au moins des titres à tarifs réduits avec la possibilité des disposer des horaires et des plans des réseaux
– quid d’un prolongement du service existant pour les matchs de l’UJAP pour sorties (cinéma, restaurant) le vendredi ou le samedi soir

je suis conscient que tout ne se fera pas en un jour mais il me semble que si vous voulez réellement que ce projet soit accepté par les contribuables de Quimper Communauté, il conviendrait pour l’enquête publique de prendre réellement les moyens de s’adresser aux différents acteurs et usagers actuels ou potentiels.

Alain Uguen
Kemper Ecologie PARTAGE (PARTenariat Autonome de la Gauche et des Ecologistes)

Quimper Associations. Un nouveau pôle écologique

Jusqu’à présent, le siège de l’association Cyber@cteurs se trouvait au 18, rue Sainte-Catherine. Il est aujourd’hui au 7,rue Artistide-Briand, en colocation avec deux nouvelles entités, Sens & Habitat et Alterre Breizh.

«Nous avons tous les trois une activité liée au développement durable et on vient tous à pied, à vélo ou en bus», explique Marie Guenneau. Cette conseillère en écohabitat est toutefois la seule professionnelle du lieu, auto-entrepreneuse depuis début juin.

Colocation et collaboration

Disposant d’une formation d’architecte, cette colocation l’amènera d’ailleurs à travailler sur l’un des projets de l’association Alterre Breizh, de Valérie Rivier. «Notre projet est de réaliser des stages d’information et de pratique en faveur de l’environnement. Marie nous aidera pour le projet de réflexion sur les problématiques énergétiques des maisons». Alterre Breizh propose aussi d’autres stages, pour apprendre à faire son pain au levain et non pas à la levure, avec un boulanger, ou pour apprendre à faire des meubles en carton avec un designer. «En proposant de nouvelles formations au public dans tout le département, nous changerons des attitudes sur le long terme», reprend Valérie Rivier. Créée en janvier, son association compte déjà 70 adhérents. Pourquoi ne pas profiter du réseau du voisin de chambrée, l’association spécialisée dans le militantisme sur internet, cyber@cteurs? Le site (*) fournit une newsletter quotidienne à 67.000 abonnés.

Compétences complémentaires ?

Son activité de militantisme sur internet concerne principalement les thématiques écologiques. OGM, tauromachie, nucléaire, Total et l’Erica… La matière ne manque pas pour faire circuler des pétitions ou organiser des manifestations virtuelles, dont le produit peut ensuite être soumis à des décideurs politiques et économiques. «Nous pouvons réunir 4.000 à 5.000 personnes en 24heures», assure l’animateur, Alain Huguen. Ces trois entités en colocation devraient, à moyen terme, former un pôle écologique. «Nous organiserons un concours pour trouver le nom qui convient. «Planète solidaire», «Eco-pôle» ou autre… nous verrons», annonce Alain Huguen. Avant ça, ils doivent organiser leur présence à l’Ecofoire 2012, qui se déroulera le 18novembre dans le hall B du parc des expositions de Penvillers.

* http://www.cyberacteurs.org/

Sylvain Falize

PARLEMENT EUROPEEN : Workshop shale gas 9th October 2012

Bonjour à tous,
De retour de Bruxelles et Paris, j’ai le privilège de vous transmettre (ci-dessous) le texte du discours que j’ai lu devant l’assemblée devant Madame la Présidente Erminia Mazzoni, les parlementaires dont Sandrine Bélier, Philippe Boulland et Boguslaw Sonik (MEP) et personnalités présents au « Workshop on the exploration and exploitation of shale gas in the European Union and its impact on the environment and the energy policy » ce 9 octobre 2012.
Après le commentaire de la nouvelle version de « Impacts of shale gas extraction on the environment and on human health » par Matthias Almann, j’ai eu le grand honneur et privilège d’ouvrir le débat avec la lecture de mon discours ci-dessous. L’appel à consensus européen, relayé dans l’ensemble de l’UE a été appuyé par ma (longue) lettre ci-jointe analysant la problèmatique des gaz et huile de schiste au plan européen. Le Parlement européen en avait transmis l’analyse par le Cabinet MILIEU.be de Bruxelles

9th October 2012 : Milieu Ltd presented a legal analysis at a European Parliament Committee on Petitions workshop.

et Martha BALLESTEROS, Principal Legal and Policy Advisor, l’a longuement et parfaitement analysé et a ainsi appuyé les arguments qu’elle contenait, non sans rappeler qu’aux termes de l’article 17 du Traité fondateur de l’UE, aucune interdiction ne pouvait être prononcé par le Parlement Européen concernant l’exploitation des Gaz et huiles de schiste.

Néanmoins, je pense avoir contribué utilement à avoir fait « bouger les lignes » puisque l’attitude de la Commission Européenne a évolué favorablement dans mon sens en revenant sur la position tranchée qu’elle avait exprimé lors du Workshop du 28 février dernier et celui du 9 octobre en acceptant de reconsidérer les risques et le cadre législatif de la réglementation européenne. Une VICTOIRE pour nous tous.
DISCOURS :

Madame la Présidente,

Mesdames et Messieurs les eurodéputé(e)s,

Je vous prierai tout d’abord d’excuser quelques digressions par rapport au texte original dû à l’actualité récente.

Par le combat que nous menons quotidiennement bénévolement, nous nous efforçons d’agir pour l’environnement, la planète et la biodiversité menacée. En effet, nul n’ignore maintenant que le réchauffement climatique est à 90% d’origine anthropique et que cela va occasionner des bouleversements sans précédent sur la biosphère et l’humanité toute entière1. La nécessité se fait donc impérieuse de convaincre nos dirigeants que nos besoins du présent ne doivent pas compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. Ce combat, nous le faisons aussi pour contrer l’impact très certainement incommensurable, les conséquences sous-évaluées de l’exploitation – qui ne sera jamais sécuritaire par quelque technique que ce soit – des gaz et huiles de schiste.

Si le Gouvernement français maintient l’interdiction de la seule fracturation hydraulique, l’hypothèse d’une exploration par de nouvelles méthodes n’est pas exclue et les Compagnies s’y emploient. Or, il n’existe et n’existera pas de processus industriel écologiquement recevable pour cette extraction.

La situation économique actuelle ne sera pas non plus résolue par cette “énergie de diversion nous éloignant d’une économie soutenable2 ” mais par le recours aux énergies renouvelables car la création d’emplois par les énergies fossiles est un mythe, une main-d’œuvre à haute technicité étant requise pour les emplois on et off-shore.

Pour en revenir aux gaz de schiste, il y a quatre éléments essentiels qui servent de point de départ à l’analyse de cette problématique, parmi lesquelles l’extraction de seulement 20% des huiles et gaz de schiste contenus dans le « shale » ainsi que le rapide déclin de sa production ; comme en atteste les récentes études de l’UE3. La fracturation, créée artificiellement avant l’extraction par la nécessité de libérer le méthane piégé dans la roche-mère, occasionne un processus irréversible d’écoulement du gaz dans les failles naturelles ou créées. Cette migration va se poursuivre pendant des décennies, voire davantage, en une opération où aucune solution technique ne sera disponible pour remettre le shale dans son état d’imperméabilité originelle. Aucun organisme ne peut alors en prévoir les conséquences, surtout par le risque de chevauchement avec le volume potentiel4 de CO2 enfoui. Une autre étude menée par 27 géoscientifiques de l’Université de Boulder5 démontre que l’émission et les fuites de méthane ont un pouvoir réchauffant d’environ 25 fois supérieur au CO2.

Les arguments des foreurs qui imputent les risques de pollution des nappes phréatiques à une défectuosité du tubage sont irrecevables au vu de la tendance naturelle à la dispersion de ce composé volatil, même après la fermeture des puits.

25 séismographes ont été suivis au Texas pendant près de deux ans ayant permis de détecter des tremblements de terre cependant de très faible intensité6, mais localisant leur épicentre aux régions où de fortes injections avaient eu lieu, car, quelque soit la technique employée, la fracturation déstabilise la masse compacte du sous-sol.

Si, comme la Commission l’a indiqué , aucune nouvelle norme n’est, selon elle, nécessaire pour réglementer cette exploitation [Workshop du 28 février 2012], l’application de la réglementation européenne reste difficile car elle est principalement liée aux produits et j’ajouterais que neuf grandes lacunes ont été identifiées telles qu’elles figurent dans « Impacts of Shale Gas and oil extraction on the environment and on human health » [me référant ici à la précédente version], ainsi que l’absence des activités d’exploration et d’exploitation des GDS dans les directives touchant à la limitation des émissions de certains polluants dans l’atmosphère ou à la prévention et à la réduction intégrées de la pollution7.

Puisque la politique de l’Union dans le domaine de l’environnement vise un niveau de protection élevé, il conviendrait de souscrire aux préconisations de l’OCDE par la généralisation de mécanismes pour que « polluer coûte plus cher que respecter l’environnement » et à cet égard, nous reprenons volontiers à notre compte les recommandations du Conseil Economique Social et Environnemental français de «veiller à l’application de ce principe » afin que l’UE se fixe un objectif de « zéro-impact » et que « dans l’organisation des Etats membres, les fonctions de régulation et de contrôle soient clairement séparées, afin de s’assurer que les préoccupations environnementales sont bien prises en compte ».

Nous adhérons aussi à la SUPPRESSION DES NICHES FISCALES et des SUBVENTIONS AUX ENERGIES FOSSILES et à la nécessité d’inclure les activités liées à l’extraction du gaz à l’annexe III de la directive sur la Responsabilité Environnementale 8 afin de contraindre les opérateurs à libérer une garantie financière obligatoire [comme la Cion ENVI en a adopté la résolution pour le off-shore] et à des exigences en matière d’assurance de « responsabilité civile professionnelle » et d’« atteinte à l’environnement » pour couvrir tout dommage causé du fait de leurs activités, et afin d’offrir une sécurité juridique aux populations concernées9.

En effet, si lorsqu’une menace imminente de dommage environnemental apparaît, l’autorité compétente désignée par chaque État membre peut “obliger l’exploitant à prendre les mesures préventives appropriées pour ensuite recouvrer les frais afférents à ces mesures”, une question cruciale reste en suspens : celle des assurances, compte tenu des coûts élevés liés aux accidents dans les industries minières.

On le voit, des incertitudes juridiques subsistent – même si la notion de « préjudice écologique » a été enterinée par la jurisprudence du procès de l’Erika – afin de déterminer, par exemple, à quelle hauteur doit-on dépolluer – pour parvenir à une réparation primaire d’un site – surtout lorsque plusieurs activités industrielles s’y sont succédés.

Je vous remercie, Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les eurodéputé(e)s, d’avoir bien vouloir nous recevoir en nos observations et notre pétition ainsi que la Commission ENVI qui appelle à la prudence et à une analyse détaillée du règlement sur les combustibles fossiles non-conventionnels et nous permettre d’œuvrer aussi contre la dégradation des sols à l’échelle européenne, une nécessaire réforme du carbone européen [et j’ai bien noté que le Parlement européen se penchera sur la question le 19 février prochain] et pour un nouveau paradigme de modèle écologiquement durable car, plus que le pic pétrolier, ce sont nos propres limites qui sont atteintes.

Danièle favari,

Juriste en droit et droit européen de l’environnement

Auteur de l’Appel à un Consensus européen pour une transition énergétique, relayé dans tous les pays de l’UE concernés par la problématique des gaz de schiste (Pétition n°0504/2012)

Invitée du Parlement Européen à Bruxelles pour l’atelier sur l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste dans l’Union européenne et son impact sur l’environnement et la politique énergétique du Parlement Européen , du 9 octobre 2012

1 – GIEC 2007

2 – Eloi Laurent, économiste, Conseiller scientifique à l’OFCE, enseignant à Sciences Po et Stanford

3 – « Potential Energy Market impacts in the European Union », “Support to the identification of potential risks for the environment and human health arising from hydrocarbons operations involving hydraulic fracturing in Europe” et « Climate impact of potential shale gas production in the EU »

4 – Michael Celia of Princeton University [ Theodora Shelton Pitney Professor of Environmental Studies, Professor of Civil and Environmental Engineering, Ph.D., Civil Engineering, Princeton University, 1983, M.A., Civil Engineering, Princeton University, 1981, M.S., Civil Engineering, Princeton University, 1979, B.S., Civil Engineering, Lafayette College, 1978] says the biggest threat may be to carbon storage.

5 – Journal of Geophysical Research, publiée le 21 février 2012 :

http://www.colorado.edu/Law/centers/nrlc/events/documents/oil%20shale/Oil%20Shale%20PowerPoints/PPT%20-%20BOAK,%20Jeremy.pdf

6 – moins de 3 sur l’échelle de Richter

7 – (Directive 2010/75/UE du 24 novembre 2010 relative aux émissions industrielles (prévention et réduction intégrées de la pollution) (Directive 2011/92/EU codifiée du 13 décembre 2011 concernant l’évaluation des incidences de certains projets publics et privés sur l’environnement)

8 – Directive 2004/35/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 avril 2004

9 – Amendement 216 (de Reinhard Bütikofer du groupe Verts/ALE) du projet de rapport Niki Tzavela

Accord Franco-Allemand sur le maintien du budget de la PAC

Communiqué de presse conjoint à l’occasion de la rencontre entre Mme Aigner et M. Le Foll – Accord Franco-Allemand sur le maintien du budget de la PAC

Paris

10/10/2012
Berlin, le 9 octobre 2012

Au moment où les négociations européennes sur le cadre financier pluriannuel 2014-2020 et sur la définition de la politique agricole commune (PAC) vont entrer dans une phase décisive, les ministres de l’agriculture français et allemand soulignent l’importance de la PAC pour la croissance, l’emploi, l’environnement et l’innovation dans les territoires ruraux européens comme pour la participation de l’Europe aux équilibres alimentaires mondiaux Les deux ministres restent mobilisés pour soutenir une PAC forte. Ils soutiennent la proposition de la Commission de maintenir le budget agricole au niveau nominal de l´année 2013 pour la période 2014-2020. Dans le contexte actuel où les efforts budgétaires au niveau national sont particulièrement importants, les deux ministres rappellent que la PAC est la politique qui, dans les propositions de la Commission sur le prochain cadre financier pluriannuel, contribue déjà le plus aux efforts de maîtrise de la dépense. Les deux ministres ont fait part de leur opposition à la proposition de certains Etats-membres de réduction des moyens du premier pilier.

Les deux ministres peuvent convenir d’un certain rapprochement du niveau des aides directes entre les Etats membres à condition qu’il soit raisonnable et progressif. Dans ce processus, il faut tenir compte de la dotation globale et de la répartition des crédits accordés à chaque Etat-membre, y compris ceux du 2ème pilier.

Les deux Ministres partagent l´objectif d´une sortie des références historiques et d’une convergence interne progressive des aides directes du premier pilier, Les deux Ministres appuient l’ambition et l’économie générale des propositions de la Commission en faveur de l’environnement (verdissement). Elles sont importantes pour renforcer la légitimité de la PAC et pour protéger l’environnement et les paysages. Les ministres demandent qu’une utilisation agricole durable des superficies d’intérêt écologiques puisse être possible. Ils plaident pour une mise en œuvre plus efficace au niveau administratif et demandent à la Commission de faire preuve de la flexibilité nécessaire pour garantir une application pragmatique. Un groupe de travail de travail conjoint est chargé d’examiner dans quelle mesure l’approche au niveau régional et/ou des exploitations du verdissement permettent une mise en œuvre adaptée. Le renforcement du pouvoir économique des producteurs dans la chaîne d’approvisionnement est une préoccupation majeure des Ministres.

Les deux Ministres rappellent leur attachement aux droits de plantation pour la vigne et la nécessité de prolonger les quotas sucriers jusqu’en 2020.

Le deuxième pilier de la PAC a une importance particulière qu’il doit conserver à l’avenir pour assurer la vitalité à long terme de l’espace rural. Les zones défavorisées doivent continuer à bénéficier d’un soutien spécifique.

Les deux Ministres plaident pour que l’Union européenne fasse valoir de manière offensive ses intérêts agricoles dans la mondialisation et dans ses relations commerciales avec ses partenaires. Les exigences des consommateurs et les préoccupations de la société comme la qualité des produits, la santé, l’environnement et le bien-être des animaux doivent être prises en compte.

Les deux Ministres souhaitent que la réunion qui se tiendra le 16 octobre à Rome à l’invitation du Directeur général de la FAO et à l’occasion du Comité de la sécurité alimentaire mondiale permette de noter des progrès dans la lutte contre la volatilité des prix des matières premières agricoles et contre ses effets, si préjudiciables aux pays les plus pauvres comme aux filières agricoles. Les deux Ministres se félicitent que les jeunes des deux pays se soient mobilisés pour porter leurs messages dans le cadre des célébrations du 50ème anniversaire du traité de l’Elysée, traité d’amitié franco-allemand. En effet, des séminaires sont prévus le 21 janvier à Berlin et le 26 février à Paris sur l’avenir du monde rural et de l’agriculture auxquels participeront les deux ministres. Ces manifestations montrent la vitalité de la relation franco-allemande dans le domaine agricole.

Enfin, les deux ministres sont convaincus de la nécessité de poursuivre leur coopération étroite et confiante, en particulier dans la phase finale des négociations sur la réforme de la PAC et sur le cadre financier pluriannuel.

Al’Terre Breizh sera au salon Ille-et-Bio à Guichen

Bonjour,

Al’Terre Breizh sera au salon Ille-et-Bio à Guichen à côté de Rennes le WE prochain!

Merci de transmettre ce message aux personnes, et en particulier aux “Rennais” susceptibles d’être intéressé-es!

C’est l’occasion non seulement de venir nous rencontrer sur notre stand, mais aussi de participer aux conférences que nous animerons:

– samedi 11h30 sur l’éducation à la transition

Quels enfants laisserons-nous à notre monde ? Éduquer au choix, à la responsabilité et accompagner le changement.
Marie Egreteau, Al’Terre Breizh.

Il nous faut aujourd’hui vivre, travailler, s’orienter, dans un monde en crises, crises écologique, économique, sociale, des valeurs, du sens : un monde en profonde mutation, en transitions. Face à ces bouleversements, nombre de professionnels des métiers de l’éducation, du conseil, de la formation, de l’animation, sont mal à l’aise, tiraillés entre relativisme, militantisme plus ou moins implicite et diffusion de bonnes pratiques.

En s’appuyant en particulier sur les travaux du philosophe des sciences et de l’éducation Michel Fabre, et sur sa propre expérience de formation et d’accompagnement de professionnels de l’éducation et de l’alimentation, Marie Egreteau propose au cours de son exposé

*un détour historique pour repérer les racines des résistances au changement
* plusieurs illustrations de la manière dont nous pouvons « nous équiper de cartes et de boussoles » qui aident à se repérer dans « ce monde problématique » (Fabre 2010) : systèmes alimentaires, conseil en agriculture, gestion des déchets, développement territorial.

Si l’enjeu est de pouvoir concilier un développement humain juste et la préservation des équilibres écologiques, il est essentiel d’appréhender les problèmes dans leur complexité pour effectuer des choix en toute conscience.

– dimanche 15h sur les chantiers d’écovolontariat
L’écovolontariat, agir ensemble pour la nature
Valérie Rivier, Al’Terre Breizh

Pour donner du sens à son engagement, pour s’impliquer d’avantage au service de la conservation de la faune, de la flore et des espaces naturels, il est possible d’agir et de participer à des actions de protection et de gestion de l’environnement en devenant écovolontaire.

L’écovolontariat s’adresse à tous et à toutes ! Nul besoin de compétences scientifiques particulières. Seules qualités requises : la motivation, l’esprit d’ouverture et d’aventure.
Partout en France, des structures de protection et de gestion de l’environnement accueillent des bénévoles de tous horizons, prêts à donner un peu de leur temps pour agir. Au programme : suivi et protection d’espèces, entretien d’espaces naturels, éco-construction, nettoyage de plages, missions de sciences participatives…
Venez découvrir et échanger à propos de cet engagement écocitoyen en faveur de la biodiversité.
Le programme complet du salon en PJ.
Si vous êtes intéressé-e par des entrées gratuites, faites nous signe (attention nombre limité) !
Kenavo,
Marie et Valérie
Association Al’Terre Breizh

Hent Plascaer
29390 SCAER
09.53.89.81.76
info@alterrebreizh.org
www.alterrebreizh.org
http://www.facebook.com/pages/AlTerre-Breizh/283659518376734

BILAN 3 è Trimestre 2012

Si vous souhaitez faire connaître l’action de Cyber @cteurs à votre carnet d’adresses, l’envoi par vos soins de ce bilan trimestriel peut être l’occasion d’accroitre notre audience et donc la portée de nos actions. ;o)

En exergue de ce numéro, nous nous contenterons de reprendre ce commentaire d’Eric Grelet sur notre blog
J’ai comme l’impression que le vent change —durablement— de direction…
Monsanto ou Total perdent aujourd’hui des procès qu’ils auraient gagnés hier. Les citoyens sont avertis par leurs réseaux et prennent conscience de leur pouvoir. Le temps change. Les temps changent.
La route est encore longue.
Mais elle est belle !
Continuons…

Nous ne saurions pas mieux dire pour vous inviter à continuer l’aventure avec nous et à noter sur vos calendriers le rendez-vous de notre

Assemblée Générale que nous transmettrons en direct
le samedi 27 octobre.

Voir en fin de message comment se mettre à jour de sa cotisation.

Merci à nos partenaires qui en prenant la peine de nous informer des suites de leurs actions que nous relayons, nous permettent de vous informer à votre tour pour confirmer que “Votre souris a du pouvoir” :o)

Alain Uguen Animateur de Réseaux
Dom Beaucé webmestre
Marie Guenneau revue de presse
Marie Anne Isler Présidente
Hélène Danel et Philippe Vicherat Vice Présidents
Odette Chauvé Secrétaire
Dom Touret Trésorier

Journaux des bonnes nouvelles

03 juillet 2012
Assemblée nationale : Claude Bartolone baisse son indemnité de 30 %
Le gouvernement interdit définitivement le Cruiser OSR pour protéger les abeilles
Hôpital. Le projet de rocade vers Inzinzac-Lochrist enterré
CREATION DU RASSEMBLEMENT POUR LA PLANÈTE
Annulation des extractions de sable aux Duons ( Baie de Morlaix )
https://www.cyberacteurs.org/blog/journal-des-bonnes-nouvelles-du-3-juillet/

23 juillet 2012
maternité porcine : Nous n’avions pas tort !
Gaz de schiste : Delphine Batho confirme l’interdiction de la Fracturation Hydraulique
https://www.cyberacteurs.org/blog/journal-des-bonnes-nouvelles-du-23-juillet-2012/

30 juillet 2012
Grâce à la mobilisation, il n’y aura pas d’épandages aériens de pesticides dans le Lot !
Mahmoud Sarsak footballeur enfin libre
Victoire pour des manifestants antipollution en Chine
Nous n’y sommes franchement pour rien mais cela fait toujours plaisir
Plogoff, Fessenheim et le nucléaire : une caravane de vélos va traverser la France du 5 aout au 8 septembre pour « réveiller le souvenir des résistances »
https://www.cyberacteurs.org/blog/journal-des-bonnes-nouvelles-du-30-juilet-2012/

10 aout 2012
Une étude scientifique démontre les effets néfastes de mélanges de certains pesticides couramment utilisés.
VICTOIRE CAPITALE POUR LES PEUPLES INDIGENES
Equateur vs Chevron : 19 milliards de dollars de dommage environnemental
https://www.cyberacteurs.org/blog/journal-des-bonnes-nouvelles-du-10-aout-2012/

20 aout 2012
La Birmanie décrète l’abolition de la censure sur les médias
Belo Monte : un tribunal brésilien ordonne l’arrêt du chantier
Agrocarburants : Shell se retire des terres Guarani
Intisar Sharif Abdallah a été libérée le 3 juillet.
Abus de pouvoir des supermarchés : L’Union Européenne doit désormais prendre ses responsabilités !
protestation contre les arrestations en Inde : les militants ont été relachés
Adidas, l’envers de la médaille
https://www.cyberacteurs.org/blog/journal-des-bonnes-nouvelles-du-20-aout-2012/

17/09/2012
Bilan de la première conférence environnementale
https://www.cyberacteurs.org/blog/360/

1er octobre 2012
Erika ou la victoire du préjudice écologique
L’étude du CRIIGEN relance le débat sur les OGM et le round-up
Tous cobayes le nouveau film de Jean paul Jaud est sorti
Les moissons du futur
https://www.cyberacteurs.org/blog/journal-des-bonnes-nouvelles-du-1er-octobre-2012/

* * * * * * *

Affaire de la Tour de Rueil

Je ne sais pas s’il s’agit d’une “grande” bonne nouvelle pour Cyberacteurs mais pour nous c’en est une.

Après notre campagne fructueuse contre ce projet de tour, Monsieur Ollier maire de Rueil et depuis ancien ministre a assigné en référé les deux associations (Adrec et Bellerive Malmaison)- à l’origine de la pétition en ligne, présentée sur le site de Cyberacteurs- pour utilisation d’un photomontage “mensonger” (celui que vous avez publié en ligne) sur des pétitions et sur notre- et votre- site.

Après avoir perdu en première instance en octobre 2011 à Nanterre, la commune de Rueil vient d’être déboutée de son appel à Versailles. La Cour d’appel a jugé licite ce photomontage parce que la modification de PLU aurait permis “l’édification d’un immeuble de grande hauteur tel que celui représenté sur le photomontage”. En enquête publique, la diffusion de ce photomontage relève de “la liberté d’expression garantie par la Constitution”. Le juge de première instance n’avait pas dit autre chose.

Entre-temps la commune de Rueil avait en octobre 2011 renoncé à maintenir son projet de tour.

Nous pensons que cette jurisprudence pourrait être utile à d’autres associations.

Cordialement, Anne Bernard, secrétaire de l’Adrec

* * * * * * *

Notre pétition intitulée « 7 milliards d’êtres humains aujourd’hui : combien demain ? » (et à destination du Secrétariat Général de l’ONU) est présente sur le site Cyber@cteurs depuis le 13/07/2011. Nous prévoyons d’officialiser son terme lors de la Conférence-Débat que notre association va tenir à Paris le 24 octobre prochain.

Paris 10è salle des fêtes NCCP 119 rue La Fayette 24 octobre 2012 19 h

Serait-il possible que Cyber@cteurs prévienne les signataires de notre pétition résidant en Ile de France (75, 77, 78, 91, 92, 93, 94, 95) de la tenue de cet évènement ?

Denis Garnier (Président de Démographie Responsable et initiateur de ladite pétition)

* * * * * * *

Bilan des pétitions initiées par Oïkos Kaï Bios
Nos pétitions contre l’expérimentation animale http://www.cyberacteurs.org/forum/viewtopic.php?f=24&t=11278
et http://www.cyberacteurs.org/actions/presentation.php?id=208 ont recueilli respectivement 9500 et 6647 signatures. Pour l’ensemble de ces pétitions contre la vivisection, version en ligne et version papier, nous dépassons 24 100 signatures.
Une autre façon de lutter contre l’expérimentation animale est de modifier les pratiques à l’école. En effet, Continuer de disséquer des animaux au collège et/ou au lycée est une autre manière de valider et d’encourager l’expérimentation sur les animaux.
Or, des méthodes substitutives à la dissection existent et la loi permet de les utiliser. Nous proposons des modèles de courrier à cette adresse : .
Les méthodes sans animaux sont utilisées dans le canton de Genève et ailleurs en Suisse et dans d’autres pays. Nous publierons bientôt un billet sur ce sujet.

La pétition « Bonus malus écologique, pour une prise en compte de tous les aspects de la pollution », avec la version papier, dépasse les 5 000 signatures.

Pour l’ensemble de ces actions, d’autres ministres sont désormais en fonction, nous leur avons écrit.
Les courriers sont publiés à ces adresses :
Ministre de la Recherche
Ministre de l’Agriculture
Ministre de l’Ecologie

Si vous n’avez pas encore signé l’une ou l’autre de ces trois pétitions, merci de le faire rapidement.
OÏKOS KAÏ BIOS

* * * * * * *

le changement climatique, c’est maintenant !
8100 participants l’action a été mise en archive : Rio+20 : le Sommet de la Terre brûlée ! Un constat des Amis de la Terre partagé par de nombreux acteurs.
http://www.cyberacteurs.org/archives/archive.php?id=506

* * * * * * *

Pétition : Pour libérer Pierre-Emmanuel Neurohr
Un militant écologiste, qui affirme vouloir stopper “la destruction du climat” en empêchant des avions de décoller de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, a été condamné le 18 septembre à 3 mois de prison avec sursis, pour sa quatrième tentative, début août.
Pétition mise en archives

* * * * * * *

TOTALement responsable 10622 participants

Erika ou la victoire du préjudice écologique
voir la revue de presse du 26 septembre
Pétition mise en archives

* * * * * * *

contre l’extraction de sable coquillier en baie de Lannion
Pétition mise en archives
Au nom du collectif Peuple des Dunes, je tiens à vous remercier de votre aide dans la diffusion de la pétition.
Bien cordialement
Alain Bidal Président

* * * * * * *

Kokopelli et Cyber@cteurs

La Biodiversité sacrifiée sur l’autel de la productivité La Cour de Justice de l’Union Européenne désavoue Kokopelli et son avocat général

Plus que jamais, écrit Dominique Guillet, Kokopelli a besoin du soutien moral de la population.
Nous mettons donc en place une nouvelle pétition

Le 22 juillet Dominique Guillet écrit un article
Les Pétitions : les psychopathes prédateurs s’en torchent leur barbecul

Le 25 juillet après avoir mis son texte dans les commentaires de la pétition, je lui répond dans les mêmes commentaires
“Qui crache au vent se salit la figure”
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/commentaires.php?id=498

Le 26 Dominique Guillet me répond
Cher Alain,
On s’aime , pas de soucis
S’il n’y avait eu que ta pétition… mais je pense qu’il y en avait trois ou quatre sur la table dont mes ennemis Avaaz.
Quant à l’outrance: le ton de mon mail laisse peu à penser que je prête ma voix aux lobbies. D’ailleurs le lendemain, les RG téléphonaient chez Kokopelli.
Bises
Dominique

Ne pas être d’accord sur tout ne doit pas nous empêcher de continuer à défendre des militants quand ils défendent des points de vue communs aux nôtres.
La pétition pour Kokopelli reste donc en ligne
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/soutien-kokopelli-498.html

comme la pétition de soutien à GE Séralini
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/lettre-ouverte-ministres-ogm-sante-publique-516.html

* * * * * * *
Messages associatifs

Paiement sécurisé en ligne
http://www.cyberacteurs.org/aider/don.php
> * * * * * * * * * * * * *

>>> Pourquoi adhérer ?

Cyber @cteurs est une association qui paie deux permanents un pour animer les cyber @ctions et faire le travail d’information et un deuxième pour tenir à jour le site et améliorer les outils.

Vous trouverez les comptes 2011
http://www.cyberacteurs.org/presentation/comptes/comptes_%202011.pdf

>>> Combien ?

La cotisation est de 30 euros.
mais chacun-e donne ce qu’il-elle veut ou peut.

Les versements ouvrent droit à déduction fiscale

>>> Comment adhérer ou nous soutenir

> Par paiement sécurisé en ligne
http://www.cyberacteurs.org/aider/index.php

>par chèque

Les chèques à faire à l’ordre de Cyber @cteurs

Adresse postale : Association Cyber @cteurs
C/O Alain UGUEN
152 rue F.Pelloutier
29000 QUIMPER

> Par virement de banque à banque

Normalement avec le numéro IBAN et code BIC ci-dessous, tu dois pouvoir un
virement direct de banque à banque

N° de compte :

Domiciliation : Crédit Mutuel de Bretagne CCM QUIMPER ERGUE ARMEL

clé IBAN banque guichet compte clé RIB
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> Possibilité de prélèvement automatique : le formulaire
http://www.cyberacteurs.org/aider/prelevement.php

> * * * * * * * * * * * * *

Cyber @cteurs c’est aussi

– une revue de presse quotidienne accessible sur le forum
http://www.cyberacteurs.org/quotidien/index.php

ou par message électronique en abonnement quotidien ou hebdomadaire.

– des offres d’emploi mis en ligne par Odette
http://www.cyberacteurs.org/forum/viewforum.php?f=5

– des liens vers les sites de vos associations préférées
http://www.cyberacteurs.org/amis/index.php

– un annuaire “boutiques solidaires” pour vous faire connaître en tant que professionnels qui partagez nos valeurs
http://www.cyberacteurs.org/annuaire/index.php

– un forum pour vous exprimer ou faire connaitre vos initiatives
http://www.cyberacteurs.org/forum/index.php

un Blog pour vos communiqués de presse
https://www.cyberacteurs.org/blog/

Journal des bonnes nouvelles du 30 juilet 2012

Doux : pour sauvegarder durablement les emplois, il faut réorienter le modèle de production
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/doux-nbsp-sauvegarder-durablement-emplois-faut-reorienter-modele-production-503.html
les raisons de se réjouir ne sont pas suffisamment nombreuses pour s’en priver même si ce message est une nouvelle entorse à notre règle de non envoi en juillet-aout.

1 Grâce à la mobilisation, il n’y aura pas d’épandages aériens de pesticides dans le Lot !
Lutte biologique contre la pyrale du maïs
En date du 27 juillet 2012
Les services de la préfecture du Lot viennent d’être informés d’une possibilité de traitement par lutte biologique contre la pyrale du maïs[1] dans les tous prochains jours.
http://www.lot.pref.gouv.fr/Salle-de-presse/Communiques-de-presse/Lutte-biologique-contre-la-pyrale-du-mais#_ftnref1

Comme le Lot n’est pas le seul département concerné et que le Ministre de l’Agriculture a affirmé que réduire de 50% les pesticides comme convenu au Grenelle était impossible et qu’un moratoire sur l’épandage aérien de pesticides sur du maïs est inenvisageable,

la pétition reste d’actualité
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/epandages-pesticides-aeriens-terrestres-495.html

2 Mahmoud Sarsak footballeur enfin libre
Nous avions annoncé sa libération proche dans un journal des bonnes nouvelles de juin, celle-ci est à présent effective
http://www.cyberacteurs.org/quotidien/equotidien.php?id=630

La cyber @ction a donc été mise en archives : merci aux 4870 participants

3 Victoire pour des manifestants antipollution en Chine
Nous n’y sommes franchement pour rien mais cela fait toujours plaisir
http://www.cyberacteurs.org/quotidien/equotidien.php?id=630

Plogoff, Fessenheim et le nucléaire : une caravane de vélos va traverser la France du 5 aout au 8 septembre pour « réveiller le souvenir des résistances »
Voir l’itinéraire sur le blog
https://www.cyberacteurs.org/blog/la-caravane-a-velo-de-plogoff-a-fessenheim-wyhl/

Journal des bonnes nouvelles du 23 juillet 2012

maternité porcine : Nous n’avions pas tort !
Cette maternité collective et industrielle de la SCEA de Ker Anna à Trébrivan (22340) qui nous avait été présentée comme exemplaire pour l’environnement et l’avenir de la profession porcine n’a pas résisté à l’analyse menée par l’association «Sous le vent, les pieds sur terre» et les riverains avec l’appui d’ Eau et Rivières de Bretagne et de la Confédération Paysanne.
C’est ce que vient de confirmer le Tribunal Administratif de Rennes en son jugement en première instance du 13 juillet 2012 : «Annulation de l’arrêté préfectoral des Côtes d’Armor en date du 14 avril 2010 autorisant la SCEA de Ker Anna à exploiter» une maternité porcine produisant 23.000 porcelets par an avec un plan d’épandage de 400 ha sur le canton de Maël-Carhaix et Glomel.
A Trébrivan, le 17 juillet 2012
Sylvie GOURDON
La Présidente
Sous le vent, les pieds sur terre
3-Guénaric / 22340 – TREBRIVAN
Ce communiqué et le pdf du jugement du TA sont visibles sur le blog
https://www.cyberacteurs.org/blog/nous-navions-pas-tort/

Gaz de schiste : Delphine Batho confirme l’interdiction de la Fracturation Hydraulique
voir l’e quotidien du jour
http://www.cyberacteurs.org/quotidien/equotidien.php?id=625