Appel pour un nouveau Pacte écologique qui passe par une Primaire de l’Alliance Citoyenne pour une Transition Ecologique

Pour renouveler les pratiques et le personnel politique, il faut un nouveau PACTE fondé sur une primaire citoyenne législative
* pour mettre la transition écologique au coeur de la campagne et donner une majorité à sa mise en œuvre pendant le prochain mandat,
* pour remettre le citoyen au coeur du processus politique,
* pour ouvrir une première coalition législatives et gouverner ensemble pendant 5 ans,
* pour remettre le calendrier des élections dans le bon sens,

Après avoir parlé à l’oreille des Présidents de la planète, nous souhaiterions que Nicolas Hulot puisse poursuivre en s’adressant à l’oreille des citoyens en plaidant pour ce nouveau Pacte.

[Interview] Nicolas Hulot, un naturaliste devenu humaniste

Journal des Bonnes Nouvelles du 8 novembre 2015

Journal des Bonnes Nouvelles
De bonnes raisons de vous inciter à continuer d’utiliser le pouvoir de votre souris

Miel la récolte qui donne de l’espoir

Une première liste de signataires remise à Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture

Coalition Climat 21 : des mobilisations partout en France tous en marche pour le climat les 27 et 28 novembre 2015

Obama annonce le rejet du projet d’oléoduc Keystone XL

LE PHOTOVOLTAÏQUE DÉJÀ COMPÉTITIF DANS PLUS DE QUINZE PAYS

Palestine. Mohammed Allan enfin libre

Le secrétaire au Foreign Office Philip Hammond a affirmé ce mercredi disposer d’informations le laissant penser que le Saoudien Ali Mohamed al-Nimr, allait échapper à sa peine de décapitation et crucifixion. 

Heure d’été : Des députés européens ont exprimé leur nette opposition au système actuel et exigent un ré-examen du dispositif pour garder l’heure normale du fuseau horaire toute l’année.

Samedi 7 novembre, l’Organisation mondiale a déclaré la fin de l’épidémie Ebola au Sierra Leone.

Premier rapport annuel du Gouvernement sur « les nouveaux indicateurs de richesse »

Des élections cruciales pour une Birmanie en transition

l’opération Chouette HULOT-te 2016
http://hulot2016.fr

Audition du 29/10/15 sur les changements en matière d’heure d’été et d’hiver en Europe

Bonjour Alain,

Merci à toi de publier dans un mail “bonnes nouvelles” de Cyberacteurs ces infos, car c’est une première au Parlement européen.
Lors de l’Audition, en séance plénière, sur les changements en matière d’heure d’été du 29/10/15 au Parlement européen, des députés européens de la Commission des transports*, et en particulier les Allemands dont un Vert Michael Cramer, ont exprimé leur nette opposition au système actuel et exigent un ré-examen du dispositif pour garder l’heure normale du fuseau horaire toute l’année. Ils estiment que ce système ne favorise pas les transports, et que son impact sur l’énergie serait au mieux nul, voire même une dépense, au lieu d’une économie.
La Commissaire aux Transports, Madame Violetta BULC, en réponse à cette « question orale du Parlement », n’a pas pu donner d’arguments valables aux parlementaires, pour maintenir pour l’instant la position de la Commission.
Elle a redit l’intention de la Commission Européenne de poursuivre avec ce régime, bien qu’il serait possible de le reconsidérer en fonction des études à son sujet.
Les médias allemands et la principale agence de presse chinoise ont rendu compte de cette Audition dès le jour même dans la soirée, on attend toujours le compte rendu des médias français …

1) Audition sur les changements en matière d’heure d’été en Europe

Il y a 2 jours – Audition sur les changements en matière d’heure d’été en Europe … Session plénière du 26/10/2015 au 29/10/2015 … Parlement européen.

2) En Chine, on est aussi intéressé par les changements d’heure en Europe, voir le communiqué de presse de Xinhua, la principale agence de presse chinoise, du 29/10/15 qui résume bien cette audition:

3) RAPPEL: sondage BVA du 26 mars 2015 en France

Le changement d’heure ne rencontre pas l’adhésion des Français
Presque 40 ans après avoir été remis en place pour la deuxième fois, sous le mandat de Valéry Giscard-d’Estaing, une large majorité de 58% de Français reste opposée au changement d’heure (contre 40% y étant favorables), selon ce même sondage.
S’ils y sont opposés, c’est d’abord parce qu’ils sont 62% à être perturbés par ce décalage horaire brutal, que les chronobiologistes qualifient de chrono-ruptures (qualité du sommeil, appétit). Ils sont même 19% à l’être « beaucoup ». Sans surprise, l’opposition au changement d’heure est plus forte dans « la France qui se lève tôt » : les CSP- y sont nettement plus opposés que les CSP+ (61%, contre 51%). Par ailleurs, presque les trois-quarts des parents (73%) considèrent que leurs enfants sont perturbés par ce changement d’heure. C’est même l’avis de 88% des parents d’enfants de 5 à 10 ans.
66% ne croient pas aux économies d’énergie.
En savoir plus

Les EPR d’Hinkey Point : Un cocorico ruineux pour le Royaume Uni et en France pour le service public

PAR BENJAMIN DESSUS

En annonçant que l’accord entre EDF et le gouvernement anglais pour la construction de deux EPR était enfin trouvé grâce à la participation de deux entreprises chinoises du nucléaire, le Monde du 21 octobre dernier indiquait, comme si c’était le rappel d’une évidence connue depuis toujours, que le montant total de l’investissement atteignait 33 milliards € et non plus 24 milliards € pour les deux réacteurs EPR de Hinkley Point dont le démarrage est prévu en 2025.  Ah oui nous dit on maintenant, il faut ajouter aux chiffres qu’avaient annoncés EDF les frais financiers de l’opération qui sont très importants vu le délai de 10 an qui va s ‘écouler, si tout va bien, entre le démarrage du chantier et la mise en route des réacteurs. 16,5 miliards d’€ par réacteur donc pour une puissance de 1650 MW, enfin un chiffre rond de bon aloi : 10000 € le kW, 5 fois plus cher que l’estimation initiale d’investissement du kW de l’EPR donnée par EDF en 2006 à la veille du démarrage du chantier de Flamanville, 7 fois plus cher que l’investissement d’une éolienne terrestre (frais financiers compris) ou 12 fois plus cher que celui d’une turbine à gaz…
En écrivant il y a 9 mois sur mon blog en conclusion de «  Fastoche le facteur 4 » « encore un petit effort, nous y arriverons à ce fameux facteur 4, non pas comme on l’imaginait naïvement sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais sur le coût du nucléaire et peut être même bien avant 2040 ! »je faisais preuve une fois de plus d’une coupable naïveté aussi bien sur le facteur que sur le délai…
Mais me direz vous ce n’est pas grave puisque le gouvernement anglais est prêt à acheter à partir de 2025 et jusqu’en 2060 le courant d’Hinkley Point à 126€/MWh, un tarif trois plus élevé que celui du marché de gros européen actuel. Pourquoi le font ils ? Après tout c’est leur affaire. Peut être accordent ils une importance particulière à l’idée de pouvoir disposer de 3,2 GW  et donc de 25 TWh d’électricité de base pour pallier la panne éventuelle de vent sur l’ensemble du parc éolien qui, si l’on en croit leur programme, devrait dépasser 50 GW  en 2025 dont une grosse part en mer où le vent est beaucoup plus régulier qu’à terre[1]. Par contre il est clair que ces parcs éoliens, quand ils produiront à pleine puissance à des coûts marginaux quasiment nuls (voire négatifs) vont rendre l’achat du courant d’Hinkley Point particulièrement onéreux pour le réseau du Royaume – Uni. Le fonctionnement en base du nucléaire présenté comme un avantage par les zélateurs d’Hinkley Point deviendra alors un véritable boulet. Dans un système de production  d’électricité où les moyens intermittents prennent de l’importance, ce n’est plus d’électricité de base dont on a un impérieux besoin, mais de moyens de pointe capables d’apporter la puissance nécessaire pendant les laps de temps (quelques heurs à quelques jours) où la météo est vraiment défavorable sur l’ensemble de la région considérée.  Et le nucléaire est particulièrement mal armé pour répondre à ce type de demande.
Pour préciser l’ampleur du désastre attendu revenons à l’économie du système. Plaçons nous dans l’hypothèse la plus favorable où pendant les 35 ans prévus par le contrat les deux EPR  auraient le bon goût de fonctionner 8000 heures par an comme prévu sur le papier, sans aucune panne.
 
Pour le coût d’investissement qui ressort du contrat signé (10000€/KW),  le coût courant économique calculé selon la méthode et les paramètres financiers préconisés par la Cour des comptes[2] atteindrait 127€/MWh (dont 105 de remboursement de l’investissement initial). L’opération serait donc au mieux neutre pour EDF jusqu’en 2060. Ce n’est qu’après 2060 qu’EDF et ses partenaires pourraient donc songer à engranger des bénéfices. Si la durée de vie de l’EPR atteint 60 ans comme l’affirme EDF,  le coût du MWh « tomberait » à 120€, dégageant une toute petite marge annuelle au producteur, marge bien fragile puisqu’elle serait très vite remise en cause par la moindre anicroche de fonctionnement  ou le moindre aléa de maintenance : si la durée d’appel tombe à 7500 h/an le coût repasse à 128/MWh et monte à 145€/MWh si elle rejoint celle du parc français actuel[3]…
Equation économique pour le moins risquée pour EDF et catastrophe économique à peu près sûre pour le Royaume Uni.
Alors comment comprendre cette décision ? Il s’agit, nous dit-on, de sauver la maison France à l’exportation puisque ce premier contrat va sûrement faire des petits. Oui mais quand et où  dans un contexte où le nucléaire perd chaque jour des points dans le marché mondial de la production d’électricité ? Sa part dans la production mondiale d’électricité est passée de plus de 15% à moins de 11% depuis 10 ans
Et puis, dans  l’affaire d’Hincley Point, les chinois qui sont en train de nous montrer qu’ils savent très bien se débrouiller tout seuls pour construire leurs propres réacteurs mettent un pied en Europe et se placent donc sur un marché déjà bien limité…
Enfin les clients potentiels, s’il en existe encore, échaudés par l’expérience désastreuse de Flamanville et d’Olkiluoto risquent fort d’attendre de voir comment se passe le chantier d’Hinkley Point avant de se lancer dans l’aventure, même si EDF leur promet des réductions de prix de 20 à 30%.
Pendant ce temps l’éolien et le photovoltaïque voient leur coût diminuer à grande allure et les réseaux intelligents se développer. En 2025-2030, les moyens de production très centralisés d’électricité en base comme le nucléaire ou les grosses centrales à charbon ont toutes chances d’apparaître comme un véritable anachronisme.
Reste EDF et son PDG qui droit dans ses bottes persiste et signe : il annonce tranquillement [4] que la France va construire une quarantaine d’EPR de « nouvelle génération » (encore meilleurs que les précédents qui n’existent pas encore ?) à partir de 2028  au rythme de deux par an et maintenir ainsi pour le siècle qui vient la sacro sainte puissance de 64 GW nucléaire de la France. Aux successeurs de Ségolène Royal  de continuer à subventionner à coûts de milliers d’euros les véhicules électriques et autres pompes à chaleur pour arriver à consommer suffisamment de cette électricité fatale pour respecter la règle des 50% de nucléaire…
 
Dans l’immédiat, pour les citoyens français dont on rappelle qu’ils sont propriétaires de 85% du capital d’EDF, cette dépense de plus de 20 milliards d’euros (les 2/3 du total de l’investissement d’Hinkley Point) apparaît d’autant plus absurde qu’il suffirait de consacrer la moitié de cet argent, sous forme d’aide au renouvellement anticipé d’appareils électroménagers ou de chauffage domestique et tertiaire et de moteurs efficaces dans l’industrie, pour économiser sans peine en 2015 une soixantaine de TWh, à des coûts par MWh économisé 5 fois moins importants, en fidélisant ses clients et sans prendre de risque inconsidéré. 
Mais pour cela il faudrait un Etat actionnaire animé d’un minimum de sens du service public, et  des corps d’Etat qui sortent de leur consanguinité avec un lobby nucléaire dépassé par les événements .
Il faudrait aussi qu’EDF et les pouvoirs publics admettent enfin leurs erreurs de jugement et ne continuent pas à s’enferrer dans des choix de plus en plus risqués, aussi bien pour les clients étrangers d’EDF que pour les usagers français qu’elle est supposée servir au mieux de leurs intérêts et de la collectivité nationale.
Sans même compter le risque majeur de voir l’autorité de sûreté française refuser l’agrément  de la cuve de Flamanville qui  remettrait en cause ce château de cartes déjà bien branlant.
 

[1] Alors que le nombre d’heures de fonctionnement équivalent pleine puissance d’une éolienne terrestre  neatteint rarement plus de 2200 heures au Royaume Uni, il peut dépasser 3000 heures en mer.
[2] Taux de rémunération du capital 7,8% , taux d’actualisation 5%,  voir « Le coût de production de l’électricité nucléaire actualisation 2014, Cour des comptes »
[3] En France en 2014 la durée d’appel aux centrales nucléaires n’a pas dépassé 6600 heures
[4]  voir par ex « EDF n’est pas prêt à sortir du nucléaire en France » Le Monde 23 octobre

Appel: la Justice fait définitivement droit à une Électrosensible, le handicap est reconnu!

Communiqué lundi 26 octobre 2015

L’appel de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) contre le jugement du Tribunal du Contentieux de l’incapacité de Toulouse de juillet 2015 reconnaissant le droit à une allocation pour le handicap “d’électrosensibilité” vient d’être rejeté.

Le jugement faisant état du “Syndrome d’hyper sensibilité aux ondes électromagnétiques” précisant “la description des signes cliniques irréfutables” et la déficience fonctionnelle de la plaignante Marine Richard évaluée à 85% est définitivement confirmé!
Une allocation pour adulte handicapé de 800€ par mois lui est donc attribuée par décision de justice pour trois ans renouvelables en fonction de l’évolution de son handicap.

Marine Richard a récemment publié “Sans Mobile” aux éditions “Le Square”. Elle a été journaliste, poète et auteure dramatique ; elle a été deux fois primée par le Centre National du Théâtre.
Atteinte d’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques depuis 2010, elle a dû renoncer à toute activité sociale et vit retirée à l’abri des champs électromagnétiques artificiels dans les montagnes ariégeoises.

Marine Richard était représentée dans son contentieux par Me Alice Terrasse.

Selon Etienne Cendrier porte-parole de Robin des Toits: “La Justice Française reconnaît l’électrosensibilité comme un handicap! C’est une première non seulement en France mais en Europe. Ce jugement ouvre la voie à une jurisprudence en faveur de l’électrosensibilité sauf, si les pouvoirs publics mettent en œuvre – enfin! – de vraies politiques de réduction de l’exposition générale aux ondes des technologies du sans-fil.
En ces temps où la COP 21 ambitionne de préserver l’environnement contre les effets nocifs de l’activité humaine, il est temps de prendre conscience que les électrosensibles sont victimes des ondes produites par l’industrie des télécommunications sans-fil – que nous utilisons tous – et que, faute de vraie régulation notre santé à tous est menacée.”

Contact Presse :
Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

Le scandale des moteurs diesel truqués du groupe automobile Volkswagen

Révélations, enquêtes, rappels… Le scandale des moteurs diesel truqués du groupe automobile Volkswagen ne fait que commencer.

Scandale VW : la tricherie remonte à 2007

En France ce sont près de 950 000 véhicules (Volkswagen, Audi, Seat, Skoda)

Scandale Volkswagen : vérifiez si votre voiture est concernée

Volkswagen : quel recours pour les consommateurs ?

Scandale Volkswagen : que faire si votre voiture est concernée ?
http://www.leparisien.fr/automobile/scandale-volkswagen-que-faire-si-votre-voiture-est-concernee-30-09-2015-5141245.php

Le constructeur explique lui-même à ses clients comment bénéficier du bonus écologique.
Le décret n° 2007-1873 du 26 décembre 2007 du Grenelle de l’Environnement prévoit une aide financière de l’Etat à l’acquisition de véhicules neufs les moins polluants. Ce dispositif a pour objectif d’inciter les acheteurs à modifier leur comportement d’achat en privilégiant l’achat de véhicules à faibles émissions de CO2.

Les voitures particulières sont concernées par un Bonus et un Malus écologique en fonction de leur taux d’émission de CO2 au moment de la première délivrance de la carte grise.

6300 euros pour un taux de CO2 inférieur ou égal à 20 g.

Une enquête pour « tromperie aggravée ». Nos confrères du quotidien Le Monde rapportent que le parquet de Paris a décidé d’ouvrir une enquête préliminaire pour « tromperie aggravée sur une marchandise susceptible d’être dangereuse pour la santé ».

Vos témoignages : de 2007 à aujourd’hui avez-vous bénéficié du bonus pour l’achat d’une voiture du groupe ?

Vos témoignages et vos avis que vous pouvez déposer dans les commentaires nous permettront de jauger s’il y a lieu de faire une cyber @ction pour demander une commission d’enquête sur la fraude fiscale éventuelle accompagnant la tricherie en matière de normes environnementales.

Il y a aussi le coût pour les finances publiques sous forme de bonus acquittés illégalement puisque cette tromperie avait justement pour but de faire passer sous le seuil permettant de toucher le bonus accompagné éventuellement du super bonus de 200 euros en cas de remplacement d’un véhicule ancien.

En tant que contribuables je demande qu’une commission d’enquête spécifique chiffre le manque à gagner pour l’état français sous forme de bonus attribués et de malus évités à tort en analysant les ventes de véhicules depuis 2007.

Cyber @ctions suites

La lutte continue contre la gare de la Mogère, car malheureusement pendant les recours qui ne sont pas suspensifs, les bétonneurs passent en force, voir les précisions sur le site
Prochaine action:
Réunion publique à Montpellier le 4 novembre à 19h, Espace Pitot.

Affaire Morfoisse : ce n’est pas fini

Le chauffeur est décédé après avoir déchargé des algues vertes. L’avocat de la famille conteste le réquisitoire de non-lieu.
La suite dans les commentaires de la Cyber @ction

Peuple des Dunes en Trégor : Compte rendu de la rencontre d’une délégation avec M. le Préfet.

Manifestation à Quimper contre les extractions de sable en Baie de Lannion

Compte rendu de la rencontre d’une délégation avec M. le Préfet.

Une délégation du Peuple des Dunes en Trégor a été reçue par Monsieur le Préfet du Finistère à l’issue de la manifestation de protestation à Quimper contre l’autorisation d’extraction de sable en Baie de Lannion. Elle était composée de responsables du collectif, du représentant des élus de Lannion Trégor Communauté, de celui de l’association des Pêcheurs Plaisanciers de Pleumeur-Bodou, des représentants des associations environnementales Sauvegarde du Trégor, Côtes d’Armer Nature Environnement et Fédération Nationale de l’Environnement. Elle était conduite par Alain Bidal, président du collectif. A ce titre, il a longuement exposé à Monsieur le Préfet toutes les insuffisances du dossier qui a permis de délivrer le titre minier à la Compagnie Armoricaine de Navigation : absence d’état initial, en dehors du lançon, aucune étude d’impact sur les autres espèces présentes sur les lieux d’extraction, étude socio-économique tardive, manque d’entrain de la société exploitatrice à s’atteler à une solution de remplacement à 40 Km de la côte, comité de suivi sans pouvoir réel… M. Alain Faivre, maire de Trébeurden a rappelé l’opposition totale des élus et de toute la population contre ce projet. Du côté des associations environnementales, il a été rajouté le peu de confiance à l’égard du Groupe Roulier et de sa filiale CAN, et la fâcheuse impression d’une complaisance de l’administration à son égard. A chaque occasion, il a été redit par tous les membres de la délégation les graves risques que ferait peser cette extraction de sable sur la faune et la flore, en particulier par le panache de turbidité, et sur le profil côtier de la Baie de Lannion.

Monsieur le Préfet a bien entendu toutes ces remarques en rappelant combien le Ministre de l’Economie avait pris le temps d’écouter ces doléances au point d’inclure dans le décret d’exploitation une clause suspensive en cas de dommages environnementaux avérés. Mais en tout état de cause, il a clairement affirmé qu’il signerait l’arrêté d’ouverture des travaux dès que le dossier sera complété et qu’on pouvait envisager le début de l’extraction dès le début de l’année 2016. En réplique, la délégation lui a signifié qu’elle a déjà envisagé d’attaquer en justice le décret ministériel d’extraction, ensuite l’arrêté préfectoral d’ouverture des travaux d’exploitation.

Rencontre polie, sans surprise. Elle a le mérite d’avoir sollicité une dernière fois les représentants de l’Etat, apportant ainsi la preuve que jusqu’au bout le Peuple des Dunes a choisi la voie du dialogue avec les pouvoirs publics, sans qu’aujourd’hui elle ait débouché sur des décisions favorables de l’administration. Désormais, ce sont la justice saisie et la mobilisation citoyenne qui parleront à ces décisionnaires, manifestement plus à l’écoute de groupes privés que de leurs administrés.

Rédaction par Sauvegarde du Trégor pour le Peuple des Dunes en Trégor.

Jungle de Calais : l’appel des 800

Paru dans Libération

Cinéastes, écrivains, philosophes, chercheurs, intellectuels… Tous se mobilisent pour alerter l’opinion publique sur le sort réservé aux migrants et réfugiés de la jungle de Calais. Ils lancent l’appel de Calais dont voici les 800 premiers signataires. 

L’appel de Calais
Depuis des semaines, de nombreuses associations sur le terrain cherchent à alerter l’opinion publique des épouvantables conditions de vie réservées aux migrants et aux réfugiés de la jungle de Calais.
Cinq à six mille femmes, hommes et enfants, épuisés par un terrible voyage, laissés à eux-mêmes dans des bidonvilles, avec un maigre repas par jour, un accès quasi impossible à une douche ou à des toilettes,une épidémie de gale dévastatrice, des blessures douloureuses, des abcès dentaires non soignés. Et les viols des femmes. Les enfants laissés à eux-mêmes dans les détritus. Les violences policières presque routinières. Les ratonnades organisées par des militants d’extrême droite.
Jusqu’à quand allons-nous nous taire ?
Au prétexte que des conditions de vie moins inhumaines pourraient produire «un appel d’air» envers d’autres réfugiés, le gouvernement de notre pays a décidé de se défausser sur les associations et les bonnes volontés. Celles-ci sont admirables mais ne peuvent pas tout.
Ce désengagement de la puissance publique est une honte dans un pays qui même en période de crise, reste la sixième puissance économique mondiale.
La spirale du pire est amorcée.
Les discours réactionnaires ou fascisants ne cessent depuis des années de diviser les gens, d’opposer des catégories toujours plus fragmentées, pour mieux propager leur idéologie haineuse.
Aujourd’hui leur propagande avance l’argument qu’il n’y aurait plus de place pour les exilés d’où qu’ils viennent, soi-disant au nom de la défense des plus pauvres des Français.
Cette mise en concurrence des indigences est ignoble.
Elle nous habitue à l’idée qu’il y aurait des misères défendables et d’autres non.
Elle sape les fondements des valeurs constitutives de la France.
Elle nie notre humanité commune.

Elle nous prépare au pire.
Alors que ce sont, précisément, ces mêmes associations, ces mêmes bénévoles, ces mêmes hommes et femmes de bonne volonté qui nous alertent aujourd’hui sur Calais et qui agissent depuis des années à panser toutes les misères de France.
Alors que ce sont, précisément, les mêmes hommes et femmes politiques, ou les mêmes discours qui attisent le feu en soufflant sur les braises des divisions mortifères, qui, par leur action ou leur manque d’action politique, accentuent la pauvreté des plus pauvres et sont incapables de lutter efficacement contre le mal logement ou la misère alimentaire.
Aujourd’hui nous avons décidé de prendre la parole tous ensemble pour dire non à la situation réservée à ceux qui sont actuellement les plus démunis de droits en France : les exilés de Calais.
Au nom de nos valeurs communes d’asile et d’universalisme.
Et parce que nous serons plus forts demain pour nous battre ensemble contre les autres formes d’injustices et de misère.
Nous demandons solennellement au gouvernement un large plan d’urgence pour sortir la jungle de Calais de l’indignité dans laquelle elle se trouve.

 Les 800 premiers signataires

NDLR : Nous avons publié une première liste de 500 noms environ qui était la liste arrêtée au dimanche soir. Voici la liste complète des 800 signataires de l’appel recueillis par le collectif d’artistes et d’intellectuels jusqu’au 20 octobre.

Hihi Abdelhamid (médecin), Michel Abramowicz (chef opérateur), Laure Adler (écrivain), Philippe Aigrain (poète), Karen Akoka (maitre de conférence), Pierre Albertini (professeur d’histoire), Guillaume Allary (éditeur), Jérôme Alméras (directeur de la photographie), Jean-Claude Aumont (directeur de la photographie), Siegrid Alnoy (cinéaste), Marianne Alphant (écrivain), Janine Altounian (traductrice, écrivain), Anne Alvaro (comédienne), Audrey Alwett (écrivain), Marie Amachoukeli (cinéaste), Mathieu Amalric (cinéaste, comédien), Jean-Pierre Améris (cinéaste), Marc Amfreville (professeur, traducteur), Louka Anargyros (étudiant), Thomas Anargyros (producteur), Michel Andrieu (cinéaste), Claire Angelini (artiste), Christine Angot (écrivain), Philippe Annocque (écrivain), Georges Aperghis (compositeur), Sophie Aram (humoriste), Danielle Arbid (réalisatrice), Christophe Arleston (scénariste), Nathalie Arroyas (professeure), Ariane Ascaride (comédienne), Marco Assennato (doctorant), Louis Astre (syndicaliste), Aurel (dessinateur), Nurith Aviv (cinéaste), Edith Azam (écrivain), Gabrielle Babin Guggenheim (productrice), Nicole Bacharan (historienne), Laurence Bachmann (productrice), Antoine de Baecque (historien du cinéma), Pénélope Bagieu (auteur de BD), Josianne Balasko (cinéaste, comédienne), Olivier Balez (auteur de BD), Etienne Balibar (philosophe), Jeanne Balibar (comédienne), Nadine Ballot (retraitée de l’édition), Gilles Bannier (réalisateur), Emily Barnett (journaliste), Antoine Barraud (cinéaste), Guillaume de Bary (producteur), Barbara Bascou (monteuse), Dominique Batraville (écrivain), Gérard de Battista (directeur de la photographie), Aziyadé Baudouin-Talec (écrivain), François Bayle (compositeur), Tina Baz (monteuse), Philippe Bazin (artiste), Emmanuelle Béart (comédienne), Alex Beaupain (musicien), Jean-Pierre Beauviala (inventeur d’Aaton), Xavier Beauvois (cinéaste, acteur), Annette Becker (historienne), Bérénice Bejo (actrice), Jérôme Bel (chorégraphe), Yahoutha Belgacem (directrice artistique), Lucas Belvaux (cinéaste), Salah Benacer (photographe), Jean Benguigui (acteur), Caroline Benjo (productrice), Florence Ben Sadoum (journaliste), Ted Benoit (scénariste et dessinateur), Hervé Bérard (réalisateur), Luc Beraud (cinéaste), Emmanuelle Bercot (actrice, cinéaste), Philippe Berling (metteur en scène), Alain Bernardini (artiste), Emmanuelle Bernheim (romancière), Laurent Bettoni (auteur), Didier Bezace (acteur, metteur en scène), Camille Bidault Waddington (photographe), Enki Bilal (dessinateur, réalisateur), Benjamin Biolay (musicien), Hervé Bismuth (enseignant-chercheur), Stéphane Bissot (actrice), Simone Bitton (cinéaste), Emmanuel Blanchard (enseignant-chercheur, président du réseau Migreurop), Catherine Blangonnet-Auer (revue Images Documentaires), Alain Blondel (Artiste peintre), Sylvie Blum (productrice), Sandra Boehringer (universitaire), Christian Boltanski (artiste plasticien), Olivia Bonamy (comédienne), Jacques Bonnaffé (comédien), Irène Bonnaud (metteur en scène), Jacques Bontemps (philosophe), Lucie Borleteau (réalisatrice), Henri Bosch (retraité), Sigrid Bouaziz (comédienne), Nicolas Bouchaud (comédien), Jean-Jacques Bouhon (directeur de la photographie), Patrick Bouffard (médecin), Jean-Marcel Bouguereau (journaliste), Stéphane Bouquet (scénariste), Fatma Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Olivier Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Frédéric Boyer (écrivain), Guillaume Brac (cinéaste), Benoît Bradel (metteur en scène), Rachida Brakni (metteur en scène et actrice), Claire Braud (auteur de BD), Dominique Brenguier (directeur de la photographie), Julie Brenta (technicienne de cinéma), Jean Breschand (cinéaste), Marika Bret (DRH à Charlie Hebdo), Pascale Breton (cinéaste), Patrice Bretaudière (philosophe), Laurence Briaud (monteuse), Geneviève Brisac (écrivain), Chantal Briet (cinéaste), Claire Brisset (ancienne défenseur des enfants), Isabelle Broué (cinéaste), Michel Broué (mathématicien), Stéphane Braunschweig (metteur en scène), Frédéric Brun (écrivain), Mickael Buch (réalisateur), Lydie Buguet (professeure des écoles), Érik Bullot (cinéaste), Daniel Buren (plasticien), Rodolphe Burger (musicien), Claire Burnoud (productrice), Nadia Butaud (éditrice), Michel Butel (écrivain), Judith Butler (philosophe), Max Cabanes (auteur de BD), Dominique Cabrera (cinéaste), Olivier Cadiot (écrivain), Marie-Claire Cailletaud (syndicaliste), Thomas Cailley (cinéaste), Claude Calame (historien), Sophie Calle (artiste plasticienne), Cali (musicien), Nicole Caligaris (écrivain), Stephane Cami (chef opérateur), Robin Campillo (cinéaste), Vivianne Candas (cinéaste), Robert Cantarella (metteur en scène), Laurent Cantet (cinéaste), Marilyne Canto (comédienne), Eric Cantona (acteur), Yves Cape (directeur de la photographie), Fabien Carniato (sociologue), Caroline Casadesus (artiste lyrique), Pascale Cassagnau (historienne de l’art), Margot Cassila (musicienne), Barbara Cassin (philosophe), 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