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Jungle de Calais : l’appel des 800

Paru dans Libération

Cinéastes, écrivains, philosophes, chercheurs, intellectuels… Tous se mobilisent pour alerter l’opinion publique sur le sort réservé aux migrants et réfugiés de la jungle de Calais. Ils lancent l’appel de Calais dont voici les 800 premiers signataires. 

L’appel de Calais
Depuis des semaines, de nombreuses associations sur le terrain cherchent à alerter l’opinion publique des épouvantables conditions de vie réservées aux migrants et aux réfugiés de la jungle de Calais.
Cinq à six mille femmes, hommes et enfants, épuisés par un terrible voyage, laissés à eux-mêmes dans des bidonvilles, avec un maigre repas par jour, un accès quasi impossible à une douche ou à des toilettes,une épidémie de gale dévastatrice, des blessures douloureuses, des abcès dentaires non soignés. Et les viols des femmes. Les enfants laissés à eux-mêmes dans les détritus. Les violences policières presque routinières. Les ratonnades organisées par des militants d’extrême droite.
Jusqu’à quand allons-nous nous taire ?
Au prétexte que des conditions de vie moins inhumaines pourraient produire «un appel d’air» envers d’autres réfugiés, le gouvernement de notre pays a décidé de se défausser sur les associations et les bonnes volontés. Celles-ci sont admirables mais ne peuvent pas tout.
Ce désengagement de la puissance publique est une honte dans un pays qui même en période de crise, reste la sixième puissance économique mondiale.
La spirale du pire est amorcée.
Les discours réactionnaires ou fascisants ne cessent depuis des années de diviser les gens, d’opposer des catégories toujours plus fragmentées, pour mieux propager leur idéologie haineuse.
Aujourd’hui leur propagande avance l’argument qu’il n’y aurait plus de place pour les exilés d’où qu’ils viennent, soi-disant au nom de la défense des plus pauvres des Français.
Cette mise en concurrence des indigences est ignoble.
Elle nous habitue à l’idée qu’il y aurait des misères défendables et d’autres non.
Elle sape les fondements des valeurs constitutives de la France.
Elle nie notre humanité commune.

Elle nous prépare au pire.
Alors que ce sont, précisément, ces mêmes associations, ces mêmes bénévoles, ces mêmes hommes et femmes de bonne volonté qui nous alertent aujourd’hui sur Calais et qui agissent depuis des années à panser toutes les misères de France.
Alors que ce sont, précisément, les mêmes hommes et femmes politiques, ou les mêmes discours qui attisent le feu en soufflant sur les braises des divisions mortifères, qui, par leur action ou leur manque d’action politique, accentuent la pauvreté des plus pauvres et sont incapables de lutter efficacement contre le mal logement ou la misère alimentaire.
Aujourd’hui nous avons décidé de prendre la parole tous ensemble pour dire non à la situation réservée à ceux qui sont actuellement les plus démunis de droits en France : les exilés de Calais.
Au nom de nos valeurs communes d’asile et d’universalisme.
Et parce que nous serons plus forts demain pour nous battre ensemble contre les autres formes d’injustices et de misère.
Nous demandons solennellement au gouvernement un large plan d’urgence pour sortir la jungle de Calais de l’indignité dans laquelle elle se trouve.

 Les 800 premiers signataires

NDLR : Nous avons publié une première liste de 500 noms environ qui était la liste arrêtée au dimanche soir. Voici la liste complète des 800 signataires de l’appel recueillis par le collectif d’artistes et d’intellectuels jusqu’au 20 octobre.

Hihi Abdelhamid (médecin), Michel Abramowicz (chef opérateur), Laure Adler (écrivain), Philippe Aigrain (poète), Karen Akoka (maitre de conférence), Pierre Albertini (professeur d’histoire), Guillaume Allary (éditeur), Jérôme Alméras (directeur de la photographie), Jean-Claude Aumont (directeur de la photographie), Siegrid Alnoy (cinéaste), Marianne Alphant (écrivain), Janine Altounian (traductrice, écrivain), Anne Alvaro (comédienne), Audrey Alwett (écrivain), Marie Amachoukeli (cinéaste), Mathieu Amalric (cinéaste, comédien), Jean-Pierre Améris (cinéaste), Marc Amfreville (professeur, traducteur), Louka Anargyros (étudiant), Thomas Anargyros (producteur), Michel Andrieu (cinéaste), Claire Angelini (artiste), Christine Angot (écrivain), Philippe Annocque (écrivain), Georges Aperghis (compositeur), Sophie Aram (humoriste), Danielle Arbid (réalisatrice), Christophe Arleston (scénariste), Nathalie Arroyas (professeure), Ariane Ascaride (comédienne), Marco Assennato (doctorant), Louis Astre (syndicaliste), Aurel (dessinateur), Nurith Aviv (cinéaste), Edith Azam (écrivain), Gabrielle Babin Guggenheim (productrice), Nicole Bacharan (historienne), Laurence Bachmann (productrice), Antoine de Baecque (historien du cinéma), Pénélope Bagieu (auteur de BD), Josianne Balasko (cinéaste, comédienne), Olivier Balez (auteur de BD), Etienne Balibar (philosophe), Jeanne Balibar (comédienne), Nadine Ballot (retraitée de l’édition), Gilles Bannier (réalisateur), Emily Barnett (journaliste), Antoine Barraud (cinéaste), Guillaume de Bary (producteur), Barbara Bascou (monteuse), Dominique Batraville (écrivain), Gérard de Battista (directeur de la photographie), Aziyadé Baudouin-Talec (écrivain), François Bayle (compositeur), Tina Baz (monteuse), Philippe Bazin (artiste), Emmanuelle Béart (comédienne), Alex Beaupain (musicien), Jean-Pierre Beauviala (inventeur d’Aaton), Xavier Beauvois (cinéaste, acteur), Annette Becker (historienne), Bérénice Bejo (actrice), Jérôme Bel (chorégraphe), Yahoutha Belgacem (directrice artistique), Lucas Belvaux (cinéaste), Salah Benacer (photographe), Jean Benguigui (acteur), Caroline Benjo (productrice), Florence Ben Sadoum (journaliste), Ted Benoit (scénariste et dessinateur), Hervé Bérard (réalisateur), Luc Beraud (cinéaste), Emmanuelle Bercot (actrice, cinéaste), Philippe Berling (metteur en scène), Alain Bernardini (artiste), Emmanuelle Bernheim (romancière), Laurent Bettoni (auteur), Didier Bezace (acteur, metteur en scène), Camille Bidault Waddington (photographe), Enki Bilal (dessinateur, réalisateur), Benjamin Biolay (musicien), Hervé Bismuth (enseignant-chercheur), Stéphane Bissot (actrice), Simone Bitton (cinéaste), Emmanuel Blanchard (enseignant-chercheur, président du réseau Migreurop), Catherine Blangonnet-Auer (revue Images Documentaires), Alain Blondel (Artiste peintre), Sylvie Blum (productrice), Sandra Boehringer (universitaire), Christian Boltanski (artiste plasticien), Olivia Bonamy (comédienne), Jacques Bonnaffé (comédien), Irène Bonnaud (metteur en scène), Jacques Bontemps (philosophe), Lucie Borleteau (réalisatrice), Henri Bosch (retraité), Sigrid Bouaziz (comédienne), Nicolas Bouchaud (comédien), Jean-Jacques Bouhon (directeur de la photographie), Patrick Bouffard (médecin), Jean-Marcel Bouguereau (journaliste), Stéphane Bouquet (scénariste), Fatma Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Olivier Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Frédéric Boyer (écrivain), Guillaume Brac (cinéaste), Benoît Bradel (metteur en scène), Rachida Brakni (metteur en scène et actrice), Claire Braud (auteur de BD), Dominique Brenguier (directeur de la photographie), Julie Brenta (technicienne de cinéma), Jean Breschand (cinéaste), Marika Bret (DRH à Charlie Hebdo), Pascale Breton (cinéaste), Patrice Bretaudière (philosophe), Laurence Briaud (monteuse), Geneviève Brisac (écrivain), Chantal Briet (cinéaste), Claire Brisset (ancienne défenseur des enfants), Isabelle Broué (cinéaste), Michel Broué (mathématicien), Stéphane Braunschweig (metteur en scène), Frédéric Brun (écrivain), Mickael Buch (réalisateur), Lydie Buguet (professeure des écoles), Érik Bullot (cinéaste), Daniel Buren (plasticien), Rodolphe Burger (musicien), Claire Burnoud (productrice), Nadia Butaud (éditrice), Michel Butel (écrivain), Judith Butler (philosophe), Max Cabanes (auteur de BD), Dominique Cabrera (cinéaste), Olivier Cadiot (écrivain), Marie-Claire Cailletaud (syndicaliste), Thomas Cailley (cinéaste), Claude Calame (historien), Sophie Calle (artiste plasticienne), Cali (musicien), Nicole Caligaris (écrivain), Stephane Cami (chef opérateur), Robin Campillo (cinéaste), Vivianne Candas (cinéaste), Robert Cantarella (metteur en scène), Laurent Cantet (cinéaste), Marilyne Canto (comédienne), Eric Cantona (acteur), Yves Cape (directeur de la photographie), Fabien Carniato (sociologue), Caroline Casadesus (artiste lyrique), Pascale Cassagnau (historienne de l’art), Margot Cassila (musicienne), Barbara Cassin (philosophe), Carmen Castillo (réalisatrice), Isabelle Catalan (actrice), Brigitte Catillon (comédienne), François Catonné (directeur de la photographie), Philippe Caubère (comédien), Yves Caumon (cinéaste), Antoine Cazé (professeur, traducteur), Clémentine Célarié (comédienne), Laurence Chable (comédienne), Sérénade Chafik (militante féministe), Fanny de Chaillé (chorégraphe), Magali Chaix (enseignante), Laurent Chalet (directeur de la photographie), Benoît Chamaillard (directeur de la photographie), Olivier Chambon (directeur photographie), Patrick Chamoiseau (écrivain), Caroline Champetier (directrice de la photographie), Christiane Charmasson (psychiatre/ psychanalyste), Frédéric Cheret (producteur), Luc Chessel (critique et auteur), Pierre Chevalier, Laurent Chevallier (cinéaste), Malik Chibane (cinéaste), Patric Chiha (cinéaste), Nathalie Chouchan (Professeur de philosophie), Jean-Marc Chouvel (compositeur), Pierre Christin (scénariste), Héléna Cisterne (Décoratrice), Hélier Cisterne (cinéaste), Christine Citti (actrice), Yves Citton (théoricien), Balthazar Clamoux (philosophe), Chantal Claudel (enseignant-chercheur), Sarah Clénet (contrebassiste), Denys Clerval (cinéaste), Olivier Clochard (universitaire), Roger Cochini (compositeur), Laurence de Cock (enseignante), Coco (dessinatrice), Anne Coesens (actrice), Olivier Cohen (éditeur), Grégoire Colin (comédien), Jérôme Colin (journaliste), Jean-Louis Comolli (cinéaste), Léonore Confino (auteur), Pascal Contet (musicien), Constance de Corbières (directrice artistique), Anne Consigny (comédienne), Jean-François Corty (Directeur des Opérations France de Médecins du Monde), Annie Couedel ( universitaire), Delphine Coulin (cinéaste), Pierre Courthiade (musicien), Constance de Corbière (directrice artistique), Catherine Corsini (cinéaste), Marie Cosnay (écrivain), Marc Benoît Créancier (producteur), Teresa Cremisi (éditrice), Marie Cuillerai (universitaire), Pierre-Louis Curien (chercheur CNRS), Jean-Paul Curnier (philosophe), Catherine Cusset (écrivain), François Cusset (écrivain), Isabelle Czajka (cinéaste), Arden Day (musicien), Angelique Delagree (chargée de Communication), Bajram Denis (auteur de BD), Nadia Daam (journaliste), Sylvain Dambrine (professeur), Celia Daniellou-Molinié (metteur en scène), Jean-Pierre Dardenne, Luc Dardenne (cinéastes), Charles Dargent (économiste), Claude Dargent (professeur des universités, sociologie), Marie Darrieussecq (écrivain), Jean-Pierre Darroussin (acteur), Etienne Davodeau (auteur), Kethevane Davrichewy (écrivain), Emilie Deleuze (cinéaste), Benoit Delhomme (directeur de la photographie), Edouard Deluc (cinéaste), Henri Deluy (poète), Genevieve Delzant (Professeur de Médecine), Sylvie Demaizière (régisseuse), Anaïs Demoustier (actrice), Stéphane Demoustier (cinéaste), Claire Denis (cinéaste), Jean-Lous Déotte (professeur émérite de philosophie), Alex Descas (comédien), Caroline Deruas (cinéaste), Laurence Descubes (architecte), Arnaud Desplechin (cinéaste), Linda De Zitter (psychanalyste), Georges Didi-Huberman (philosophe et historien de l’art), Vincent Dieutre (cinéaste), Marcial Di Fonzo Bo (acteur, metteur en scène), Dominique Dimey (chanteuse), Xavier Dolan (cinéaste), Elise Domenach (enseignante et chercheur), Marie Dompnier (actrice), Valérie Donzelli (actrice, cinéaste), Suzanne Doppelt (auteur), Stéphane Douaillier (universitaire), Ariane Doublet (cinéaste), Jean Douchet (critique), Valérie Dréville (comédienne), André Dubost (compositeur), Ann Dufaux (ensignante), Marie-Hélène Dumas (écrivaine et traductrice), Sandrine Dumas (comédienne), Arnaud Dumond (musicien), Laurence Dumont (Présidente de la Ligue des Droits de L’Homme), Anne Durand (comédienne), Jean-Marie Durand (journaliste), Nathalie Durand (directrice de la photo), Jean-Pierre Duret (ingénieur du son, cinéaste), Pascal Dusapin (compositeur), Daniel Edinger (réalisateur), Nadia El Fani (réalisatrice), Maria Efstathiadi (auteure), Jérémie Elkaïm (acteur), Licia Eminenti (réalisatrice), Nicolas Engel (cinéaste), Didier Eribon (philosophe), Annie Ernaux (écrivain), Martine Esparcieux (Assistante Grands Comptes), Jean-Baptiste Eyraud (militant du DAL), Abbas Fahdel (cinéaste), Mireille FANON MENDES-FRANCE, (Experte ONU, Fondation Frantz FANON), Jacques Fansten (cinéaste), Frédéric Farrucci (cinéaste), Didier Fassin (professeur de sciences sociales), Éric Fassin (sociologue), Bertrand Faivre (producteur), Arlette Farge (historienne, écrivain), Emmanuelle Faucilhon (cinéaste), Philippe Faucon (cinéaste), Etienne Fauduet (directeur de la photographie), Jeanne Favret Saada (psychanalyste), Maurine Fazendeiro (réalisatrice), Carole Fékété (photographe), Nadja Fejtö (illustratrice), Cinzia Femia (chef de cuisine), Jacques Ferrandez (auteur de BD), Pascale Ferran (cinéaste), Jean-Noël Ferragut (directeur de la photographie), Leila Ferrault (documentariste), Laurence Ferreira Barbosa (cinéaste), Jacques Ferrier (architecte), Sophie Fillières (cinéaste), Frédéric Fisbach (metteur en scène), Fanny Fleury-Bluteau (enseignante), Odile Fleury-Zvénigorodsky (professeur, CIMADE), Pierrette Fleutiaux (écrivain), Rachel Floc’h (ergothérapeute), Elisabeth de Fontenay (philosophe), Jean Louis Fournel (universitaire), Irène Franchet (professeur), Dan Franck (écrivain), Alain Françon (metteur en scène), Denis Freyd (producteur), Jean-Michel Frodon (journaliste), Marik Froidefond (maître de conférence), Jean-luc Fromental (scénariste), Pierre Gadrey (réalisateur), Valéry Gaillard (réalisateur), Christophe Galland (metteur en scène), Valérie Ganne (journaliste), Jean-Michel Ganteau (professeur), Pierric Gantelmi d’Ille (directeur de la photographie), Anne-Marie Garat (écrivain), Nicole Garcia (cinéaste), Louis Gardel (romancier éditeur), Louis Garrel (comédien), Esther Garrel (comédienne), Philippe Garrel (cinéaste), Gilles Gaston-Dreyfus (acteur), Dominique Gaudé (enseignante), Costa-Gavras (cinéaste), Michèle Ray Gavras (productrice), 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Moreau (actrice), Yolande Moreau (actrice, réalisatrice), Susie Morgenstern (écrivain), Kate Moran (actrice), Edgar Morin (sociologue, philosophe), Francoise Moscovitz (écrivain), Yann Moulier Boutang (économiste, essayiste), Yoann Moulin (claveciniste), Philippe Moyen (graphiste), Richard Moyon (militant du RESF), Patricia Mowbray (auteure), Jean Paul Mugel (ingénieur du son), Catel Muller (auteure dessinatrice), Vincent Muller (directeur de la photographie), Eliza Muresan (cinéaste), Sylvain Mustaki (producteur de spectacles), Veronique Nahoum Grappe (anthropologue), Charles Najman (cinéaste), Jean-Luc Nancy (philosophe), Émilie Née (chercheur), Toni Negri (philosophe), Monique Nemer (éditrice), Marie Nimier (romancière), Hervé Nisic (réalisateur), Gaspar Noë (cinéaste), Soizic Noël (attachée de production à Radio France), Stanislas Nordey (metteur en scène), Gandolfo Notaro (chef de cuisine), Gilbert Nouno (compositeur), Valentina Novati (productrice), Anna Novion (cinéaste), 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(cinéaste), Mélodie Tabita (vidéaste), François Tanguy (metteur en scène), Laurence Tardieu (écrivain), Bertrand Tavernier (cinéaste), Nadia Tazi (philosophe), Serge Le Tendre (scénariste), Jenny Teng (cinéaste), Manée Teyssandier (membre du CA de Peuple et Culture), Irène Théry (sociologue), Sébastien Thiéry (politologue), Christopher Thompson (comédien), Danièle Thompson (cinéaste), Lefred Thouron (dessinateur), Lola Tinnirello (illustratrice), Serge Toubiana (directeur de la Cinémathèque française), Jacqueline Tran-Retif (retraitée), Enzo Traverso (historien), Muriel Trèves (psychiatre, psychanalyste), Jean-Louis Tripp (auteur de bandes dessinées), Lewis Trondheim (auteur de BD), Benoît Turquety (enseignant), Laurence Uebersfeld (productrice), Gaspard Ulliel (acteur), Céline Vacher (comédienne), Dominique Valadié (comédienne), Camille Vallat (scénographe), Vincent Van Damme (dessinateur), Fred Vargas (écrivain), Katherine Vayne (administratrice culturelle), Marie Vayssière (metteur en scène), Monique Veaute (directrice du Palazzo Grassi), Fabien Vehlmann (scénariste de BD), Anne Vellay (médecin), Laure Vermeersch (réalisatrice), Patrice Vermeren (directeur du département de philosophie Paris 8), Marion Vernoux (réalisatrice), Jonathan Verrier (journaliste), François Verret (chorégraphe), Karin Viard (comédienne), Rémy Viard (architecte), Bernard de Vienne (compositeur), Delphine de Vigan (romancière), Margot Vignat (chanteuse), Bénédicte Vigner (directrice artistique), Eric Vigner (metteur en scène), Philippe Vilain (écrivain), Fabrice Villard (écrivain), Hélène Vincent (actrice), Thomas Vincent (cinéaste), Ségolène Vinson (journaliste à Charlie Hebdo), Jean-Jacques Viton (poète), Caroline de Vivaise (chef costumière), Michel Volkovitch (traducteur), Antoine Volodine (écrivain), Christiane Vollaire (philosophe), Lise Wajeman (enseignant-chercheur), Sophie Walmish (directrice de recherche au CNRS), Jacques Walter (pasteur), Régis Wargnier (cinéaste), Jean-Pierre Weisselberg (Président de AGORA21), Sonia Wieder-Atherton (violoncelliste), Martin Winckler (médecin, écrivain), Romain Winding (chef opérateur), Bruno Wolkowitch (acteur), Youssoupha (rappeur), Dork Zabunyan (professeur), Jérôme Zajdermann (assistant réalisateur), Paule Zadjermann (cinéaste), Caroline Zéau (maitre de conférence), Malik Zidi (acteur), Rebecca Zlotowski (cinéaste), Pierre Zvenigorodsky (sculpteur).

Des messages légitimes sont marqués comme spam

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ajoutant leur adresse e-mail à votre liste de contacts. Gmail place toujours les messages des membres de votre liste de contacts dans votre boîte de réception, à moins que nous soyons certains qu’il s’agisse bien de spam.
Certains messages provenant de vos contacts et dont l’identification en tant que spam ne fait aucun doute peuvent être directement envoyés vers votre libellé “Spam”. Plus important encore : dans certains cas, des messages provenant de vos contacts ne sont pas dirigés vers le libellé “Spam”, mais sont marqués d’une bannière d’avertissement rouge si leur contenu est suspect. Le compte d’un de vos amis ou contacts peut avoir été piraté et être utilisé pour envoyer des messages de phishing, par exemple.
créant un filtre de sorte que les messages ne soient jamais envoyés dans le dossier Spam.

Si vous envoyez des messages à des utilisateurs Gmail et qu’ils sont marqués comme étant du spam, veuillez consulter les instructions pour les expéditions de messages en masse.

d’après

http://www.dolist.net/pourquoi-vos-emails-sont-consideres-comme-spam-par-gmail/

Ç’Avaaz pas se passer comme ça !

Commentaire d’un trégorois (Côtes d’Armor – 22) :
“une pétition circule sur le net contre les extractions de sable en Baie de Lannion. Or, elle ne demande qu’une chose, que le préfet prenne des garanties avant de signer l’arrêté d’ouverture des travaux. Or, nous ne VOULONS AUCUNE EXTRACTION.
Donc, cette pétition décidée on ne sait où et par je ne sais qui doit être rejetée.”

Présentation d’un article de 2012, publié sur le blog de dédé l’Abeillaud

Comment dompter l’opinion publique à partir d’émotions ?

AVAAZ.org: The World in Action

Vous avez certainement vu des pétitions d’Avaaz.org circuler. Mais qui sont ces personnes qui, sous couvert de causes humanitaires, font appel à nos sentiments pour signer en ligne des pétitions fort diverses ? Cette organisation de cyberactions est, en effet, engagée sur une multitude de fronts et se targue d’opérer « démocratiquement », en suivant les orientations de sa large base d’adhérents « de fait » – puisque signer une quelconque pétition d’Avaaz fait automatiquement de vous un adhérent…

À première vue, avec plus de dix millions de membres, le succès d’Avaaz est peu contestable, et son impact médiatique paraît aussi réel que la réussite des actions. On pourrait être tenté de suivre ce mouvement les yeux fermés.

Avaaz.org est une organisation non gouvernementale internationale d’actisme en ligne, fondée en 2007. Se présentant comme une « communauté démocratique supranationale », Avaaz encourage les citoyens du monde entier à se mobiliser sur diverses questions internationales, portant du respect des Droits de l’homme aux changements climatiques.

Mais qui sont donc les fondateurs d’Avaaz ? Et à quels groupes appartiennent ils ?

Avaaz fait partie des Opérations PSYOPS ou PSYWAR de l’OTAN pour la reconquête néocoloniale de l’Afrique : Psychological warfare – PSYWAR, c’est à dire les bases des opérations psychologiques modernes PSYOPs = information et informateurs sélectionnés à l’intention d’un public étranger afin d’influencer ses émotions, motivations, raisonnements objectifs, et enfin le comportement de gouvernements étrangers, d’organisations, de groupes, d’individus.

Les financements d’AVAAZ  proviennent de la Rockefeller Foundation, de George Soros (Open Society Foundations), et enfin de la Bill et Melinda Gates Foundation.

Au regard de ces financeurs, il est permis de douter du total désintérêt d’Avaaz lors de ses campagnes de sensibilisation à une cause…

Avaaz a été créé par Ricken Patel, un anglo-canadien passé par la fondation Rockefeller, la fondation Bill Gates, consultant pour l’ONU, bref un agent du système mondial. A priori, sûrement pas un révolutionnaire dans l’âme. La fondation Rockefeller apprend à manipuler des foules (le PSYWAR) et nul doute que ce Ricken Patel en est devenu un expert.

Membre du Think Tank « Res Publica » (groupe de campagnes civiques transnationales), il est connu pour avoir promu l’ONG Avaaz.org, dont il est le « directeur exécutif ». C’est par « Res Publica » et d’autres Think Tanks du même type qu’il trouve des financements.

Qui est véritablement ce George Soros, co-fondateur d’Avaaz.org, et qui serait officiellement qualifié de « militant milliardaire » ? C’est avant tout un spéculateur. Selon une conférence de Myret Zaki et Étienne Chouard, l’une des organisations (constructions financières est un terme qui conviendrait mieux) de George Soros fait partie du groupe des « hedge funds » qui depuis 2010 à Manhattan cherchent à couler l’Euro afin de sauver le dollar.

Le témoignage d’un ancien collaborateur d’Avaaz nous éclairent quelque peu sur le fonctionnement de la structure : il évoque « marketing, opacité de l’organisation et de son fonctionnement ». Pour lui, Avaaz « mène des campagnes opportunistes en fonction de l’air du temps et ne veut pas, comme les organisations traditionnelles, réaliser des analyses poussées qui sont une perte de temps … »

Pour finir, à noter qu’un article de Dominique Guillet (Kokopelli) de novembre 2012, fait le point sur les actions d’Avaaz, et sur l’utilisation des dons versés à l’association. Il apparaît que l’organisation Avaaz appuierait des guerres, notamment les conflits libyen et syrien de 2012. Sont aussi soulignés les salaires et dépenses gigantesques de ses dirigeants, ainsi que des liens avec diverses organisations et fondations contestables aux actions contestables. 

Dédé l’Abeillaud et Marie Tréanton avec l’aide de l’enquête de Paul Matthew

Collectif citoyens, amis du front de gauche de Dinard.

Collectif citoyens, amis du front de gauche de Dinard.

 

Citoyennes et citoyens, amis des idées du front de gauche,

esprit 2012,

Venez nous rejoindre dans l’action de notre collectif !!! 

Notre collectif, composé d’une dizaine de personnes, cherche à s’ouvrir à d’autres,  afin de réfléchir aux problèmes de notre société, précarité, environnement, santé, travail et tant d’autres sujets concernant l’avenir de l’humanité…

Réfléchir, c’est aussi agir,

grâce à l’enrichissement personnel que nous nous apporterons mutuellement en partageant nos expériences de vie,

c’est aussi échanger sur ce que la vie nous a fait affronter et qui nous a amenée vers cette conclusion que,

nous, citoyens, devions prendre notre destin en main, en nous engageant dans le militantisme.

Agir, c’est comprendre,

les agissements des politiques, c’est aussi décrypter les informations télévisuelles par le partage d’informations trouvées sur le web afin de pouvoir les comparer, et révéler alors, ce qui est propagande ou bien réalité.

Agir, c’est savoir,

organiser des actions de terrain pour défendre certaines causes ou dénoncer des décisions et situations néfastes à l’humain, pour sa santé, son travail, sa vie ou son environnement.

Si vous vous sentez capable de vous pencher sur ces problèmes, et que vous souhaitez agir pour cette belle cause, celle de l’humain d’abord, pour la sauvegarde de son environnement, de son légitime droit à vivre bien et dignement dans le respect des droits de l’homme,

venez  nous rejoindre ! Merci d’avance.

Contact : orchidee.lucile@hotmail.fr

Evelyne Jouanneau, co-présidente du collectif : Tel. : 0675641944

Pour une gestion intercommunale des résidences secondaires.

A l’heure où l’arrivée des montants des impôts locaux fait se poser la question du choix entre augmentation des impôts ou réduction des services.
Immobilier : gare à la hausse continue des impôts locaux

A l’heure où la pression migratoire grandit aux portes de l’Europe et où se pose la question de l’accueil des migrants.

Ne faut-il pas poser la question des résidences secondaires inoccupées une grande partie de l’année ( voire toute l’année dans les cas de successions qui durent) ?

Une telle gestion gagnant-gagnant collective d’un parc de logements particuliers pourrait
a) du point de vue de la collectivité
– apporter des recettes supplémentaires aux collectivités
– créer des possibilités de logements pour des saisonniers qui ont parfois du mal à trouver à se loger…
– créer des emplois locaux liés à la gestion des ces logements : nettoyage, entretien, accueil..
– permettre de faire des propositions à petits prix pour des publics à petits budgets en moyenne ou basse saison
– apports supplémentaires pour l’économie locale

b) du point de vue des propriétaires
possibilité de financement : affecter la part du produit des locations soit pour les travaux d’entretien courants géré par la collectivité soit pour constituer un fond pour des travaux de rénovation énergétique.
Gestion sécurisée d’un service qu’ils ne peuvent pas faire eux-mêmes quand leur résidence secondaire est trop éloignée de leur habitation principale ou qu’ils n’ont pas le temps de s’en occuper

Nous vous proposons d’interpeller les maires pour que ce sujet soit au centre des élections régionales, la Région ayant compétence en matière de tourisme pourrait créer une délégation spécifique sur le sujet pour creuser la faisabilité avec des collectivités pilotes

Le texte pourrait être

Monsieur le Maire,

Plutôt que l’alternative augmenter les impôts ou réduire les services aux habitants, nous suggérons de proposer à vos concitoyens propriétaires d’une résidence qu’ils n’occupent pas à longueur d’année qu’il la mette à la disposition de la collectivité qui en assurera la gestion selon une formule gagnant-gagnant définie par contrat entre les deux parties.
La collectivité disposerait ainsi d’un parc de résidences temporaires utilisable s pour des locations de vacances ou de travailleurs saisonniers…
Les propriétaires qui conserveraient la priorité de jouissance de leur bien pourraient décider d’affecter la part du produit des locations soit pour les travaux d’entretien courants géré par la collectivité soit pour constituer un fond pour des travaux de rénovation énergétique.

Compétence tourisme
 – confirmation de l’idée d’une collectivité « chef de file » pour le tourisme au 1er janvier 2016 : la Région. La compétence tourisme demeure néanmoins partagée entre les 3 échelons de collectivités, mais la région est nommée « chef de file ». Etre « chef de file » signifie que la région devra organiser les « modalités de l’action commune des collectivités territoriales et de leur groupement en matière de tourisme ».

Les lumières de Sein

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À la pointe sud de la Bretagne, l’île de Sein, déjà marquée dans son histoire par les nombreux naufrages qui ont endeuillé la proximité de ses côtes, le restera aussi dans la mémoire patriotique française. Dès 1940, 128 Sénans furent les premiers à répondre à l’appel du Général de Gaulle pour le rejoindre en Angleterre.

Voici que ses habitants se voient confrontés à un autre conflit, certes plus local, pour régler son compte éventuellement à Edf et son emprise sur l’électricité, qui alimente leur îlot.

Avec ses digues brisées, terrains balayés par les galets, trombes d’eau giflant toits et façades des maisons, Sein commence à redouter les tempêtes à répétition qui la frappent. Ici plus qu’ailleurs, avec une altitude moyenne de 1,50 m, les perturbations climatiques ne relèvent plus de la prévision scientifique mais de la réalité.

Tempêtes à répétition

Et cette montée des eaux, palpable, plonge la petite communauté, au caractère breton bien trempé, dans un bien regrettable conflit picrocholin. De toutes les îles du Ponant, Sein, la plus exposée, n’étant pas reliée au réseau, repose pour ses ressources énergétiques de 3 groupes électrogènes, brûlant du fioul, gérés par Erdf, installés dans le phare.

Fragilité, pollution

C’est le gardien qui en a la charge et c’est précisément lui, qui a mis le feu aux poudres, en prenant conscience de la fragilité de ce seul équipement, aussi de la pollution en CO2 qu’il génère (une panne a encore eu lieu en août).

«  Nous devrions être un modèle de développement en énergie verte, comme le sont d’autres îles européennes d’étendue similaire », avance-t-il.

Objectif 100%

Un projet prend forme. Avec ses 120 habitants l’hiver, l’île a tous les atouts naturels pour la libérer de ses groupes électrogènes, du vent , du courant marin, du soleil, y compris lorsque la population se multiplie par 10 l’été. En juillet 2013, une société voit le jour, Ile de Sein Énergies (Idse), avec 66 associés, dont une quarantaine domiciliés sur cette rude langue de terre. Elle vise un objectif de 100% de renouvelable.

La voie allemande

Un « horsain » la rejoint ? Patrick Saultier », qui a déjà mené à bien une réalisation de parc éolien citoyen à Plélan, près de Rennes, avec 80 investisseurs et en 4 années, en résultat positif aujourd’hui.

À l’occasion, il va se ressourcer en Allemagne, à Schönau, en Forêt Noire, l’un des meilleurs exemples d’une commune, totalement dégagée du fournisseur régional, qui produit sa propre électricité verte et parvient même à la vendre à 140 000 autres foyers allemands.

Monopole et lobbying

Dans un premier temps, Edf campe sur son monopole. En raison de son caractère aléatoire, la production alternative ne pourrait dépasser 30% de la production totale.

Puis elle dépêche des cadres venus de Paris pour une réunion publique et l’évocation d’un programme de1 à 5 éoliennes érigées sur l’île, bénéficiant d’un champ de batteries, qui couvrirait 50% de ses besoins.

Une discrète subvention permet de rallier, semble-t-il, l’ancien maire, d’abord favorable au changement.

Amendement en panne

Le débat entre temps a gagné Paris, avec l’aller-retour entre Sénat et Assemblée nationale d’un amendement (à la loi sur la transition énergétique), visant à donner aux îles de moins de 2000 habitants la possibilité d’opter pour un autre opérateur qu’Edf.

Rejeté par les députés, de retour sur la table du Sénat, sans suite pour l ‘instant, bien à la manière hexagonale, alors même que Ségolène Royale, trublion habituel, soutient le droit pour tous les territoires insulaires de monter des projets d’autonomie énergétique.

Zizanie au village

« Tour tourne maintenant autour de ce problème règlementaire », déclare Patrick Saultier au « crapaud »

Mais les initiateurs d’Idse n’imaginaient peut-être pas les tensions nées du débat. Une journaliste de Libération constate que le sujet, dans les rues comme dans les bars, est tabou. « Les gens ont du mal à communiquer, ils voudraient que ça bouge mais pas trop », lui déclare le boulanger.

Trou noir

Une bonne partie de la population accorderait sa confiance à Edf. Certains arguent que des efforts ont déjà été faits, ampoules basses dans les maisons, changement de l’éclairage public, un programme d’Hlm autonomes.

« La peur du trou noir », suggère les « autonomistes ». Ils aimeraient déjà changer mentalités et comportements pour mieux adapter la production à une demande spécifique.

Trop de verrous

Ne seraient-ce que des panneaux solaires installés sur les toits appropriés pour répondre aux 25% de courant servant à chauffer l’eau des douches durant le pic estival.

L’île pourrait être un laboratoire idéal pour de telles initiatives. Encore faudra-t-il faire sauter nombre de verrous, autant règlementaires que psychologiques. Idse pour l’instant fourbit les armes de la rentrée.

 

Article du site “le crapaud”

http://lecrapaud.fr/

Paysages de France recherche des nettoyeurs de paysage.

Suite au Grenelle de l’Environnement, une nouvelle réglementation concernant l’affichage publicitaire a été instaurée. Celle-ci devient beaucoup plus restrictive à l’égard des préenseignes dérogatoires autorisées hors agglomération et dans les agglomérations de moins de 10 000 habitants ne faisant pas partie d’une unité urbaine de plus de 100 000 habitants.

préenseignes

Hors agglomération
Sont dorénavant interdites 

Les préenseignes signalant des activités particulièrement utiles pour les personnes en déplacement : grandes surfaces avec le logo «carburant », garages, hôtels, restaurants.

Seront autorisées 
Les préenseignes signalant des activités en relation avec la fabrication ou la vente de produits du terroir par des entreprises locales, les activités culturelles et les monuments historiques, classés ou inscrits, ouverts à la visite.
Les préenseignes temporaires (opérations exceptionnelles à caractère culturel ou touristique, opérations immobilières).

Dans les agglos de moins de 10 000 hab
Sont dorénavant interdites

Les préenseignes scellées au sol.

Seront autorisées 
Les préenseignes temporaires scellées au sol (opérations exceptionnelles à caractère culturel ou touristique, opérations immobilières).

La loi du 12 juillet 2010 entrera en vigueur le 13 juillet 2015 pour les préenseignes.

Dans toute la France, plusieurs milliers de panneaux deviendront ainsi illégaux à partir de cette date. C’est pourquoi Paysages de France souhaite mener une grande opération de nettoyage du paysage. Nous faisons donc appel à vous pour nous signaler ces infractions, que nous ferons remonter aux maires ou préfets concernés.

Les infractions peuvent dès maintenant être repérées et faire l’objet de fiches d’infraction. Celles-ci ne seront cependant adressées aux maires ou préfets qu’à partir du 14 juillet 2015, après une dernière vérification sur le terrain.

Vous souhaitez participer à cette campagne nationale ?
Contactez dès maintenant votre correspondant local ou régional qui vous enverra un « kit de nettoyage du paysage », présenté sous 2 versions :
le « kit de nettoyage simple » : vous faites les photos, vous les localisez, nous nous chargeons de rédiger les fiches d’infraction.
le « kit de nettoyage complet » : après relevés sur le terrain, vous réalisez vous-même les fiches d’infraction (vous disposez de plus de temps et maîtrisez bien l’outil informatique)

Merci d’avance pour votre engagement.

Reportage BFMTV

Comment détecter les panneaux illégaux ? Guide pratique sur la réglementation

Jean Kergrist fête 50 ans d’artiste

Kergrist
Chers zami(e)s, bonjour !

Cet été 2015, je fêterai à Carhaix (29), en fanfare, encens et libations, mes 50 ans de scène professionnelle.
Pas de quoi avoir honte, même si je pique encore, à 75 berges, le boulot d’autres jeunes galériens artistes.

Été 1965 : j’étais avec Roger Planchon au Palais des papes d’Avignon (comme figurant et assistant à la mise en scène)
Été 2015 : je jouerai, avec mon bon compère Lors Jouin, « Le pape voyage », grande farce pataphysique humoristique, au cloître des Augustins, en plein centre de Carhaix, carrefour des routes de Bretagne.
Un point commun, d’Avignon à Carhaix, à 50 ans de distance : le pape. Il est vrai que, suite à une velléité de jeunesse, j’ai failli porter la bure des pères dominicains. De quoi me porter chance !

N’attendez donc pas mes obsèques – pour très bientôt – afin de me rendre hommage, car je ne pourrai trinquer avec vous.
Ce sera tous les jeudis d’été à Carhaix (Cloître des Augustins, du 23 juillet au 27 août – donc après les vieilles Charrues, auxquelles nous n’entendons pas, Lors et moi, faire ombrage – , 21h, salle de repli en cas de pluies – rares en Bretagne – . Entrée adultes 5 € – ceux qui n’auront pas ri seront immédiatement remboursés -. Durée : 1h.
(Entrée par le bistrot Georges Zinc, place du marché, juste en face des statues géantes des 3 sœurs Goadec qui, pour l’occasion, entameront un kan a diskan endiablé en chinois.)
Pour en savoir davantage : http://www.jeankergrist.com/, rubrique “spectacle à l’affiche”.
À bientôt ?

Jean Kergrist
Penvern Vras
22110 GLOMEL
Tel 06 81 87 59 82
http://www.jeankergrist.com/